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Added on the 30/11/2021 20:13:12 - Copyright : AFPTV - First images
A procession carrying the ceremonial coffin of French icon Josephine Baker makes its way to the Pantheon, in Paris, before the Pantheonisation of the music-hall artist, resistance fighter and anti-racist activist. Baker is the first black woman to enter France's Pantheon mausoleum of outstanding historical figures, nearly half a century after her death. IMAGES
On a eu la chance d'essayer et d'enregistrer notre essai du Tesla FSD (Full self driving), le système de conduite 100% autonome de Tesla qui n'est actuellement pas autorisé en Europe. Alors, comment se comporte-t-il à Paris ? On vous montre tout ! ️ Plus d’infos On déroule ! Rejoignez notre serveur Discord pour discuter avec les autres membres de la communauté Frandroid, pour s'entraider, mais aussi participer à des concours exclusifs : https://discord.gg/frandroid-311789172149190657 —————————— 00:00 On a roulé 45 minutes en FSD ! 00:14 Début de l'essai FSD 04:25 Système supervisé à l'écoute du conducteur 04:58 Feeling rassurant 06:15 Transgression logique du code de la route ! 10:15 Priorités et Courtoisie du FSD 12:21 Griller un feu rouge ?? 15:22 Rond point bondé et très technique 15:43 Confrontation avec un camion 19:01 Un parking auto... Laborieux. —————————— Abonnez-vous à notre chaîne https://www.youtube.com/@survoltes?sub_confirmation=1 ️ Retrouvez l'émission toutes les deux semaines les mercredi à 17h sur https://www.twitch.tv/frandroidlive —————————— Frandroid est un média dédié à la tech suivi par des millions de passionné(e)s. Ici, vous trouverez des vidéos sur tous les univers, du smartphone à la voiture électrique ! Rejoignez-nous : Le site : https://www.frandroid.com/survoltes Twitter : Instagram : https://www.instagram.com/survoltes/ Twitch : https://www.twitch.tv/frandroidlive TikTok https://www.tiktok.com/@survoltes
Tesla nous a emmené dans une démo du FSD en France : au programme, 40 mn de conduite 100 % autonome dans les rues de Saint-Ouen. Est-ce que l'IA est prête pour affronter notre code de la route et nos rues ? C'est ce qu'on va voir. Sommaire 00:00 - Une Telsa autonome à PARIS ? 01:54 - Les 3 lois de la robotique du FSD selon Tesla 03:16 - Comment marche le FSD v14 ? 04:22 - Les meilleures situations de la conduite autonome 10:24 - Les limites du FSD v14 13:18 - L'avenir de la conduite autonome en Europe L'article par ici ► https://numerama.com --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
Aller voir un film d’animation estampillé Disney pour les vacances de Noël, quoi de plus naturel pour les familles françaises ? Mais au fait, pourquoi les films Disney sortent-ils à Noël ? Vidéo basée sur l’article de The Conversation : « Pourquoi les films Disney sortent-ils à Noël ? » par Lucie Merijeau, docteure en études cinématographiques et audiovisuelles, et Sébastien Roffat, docteur en études cinématographiques et audiovisuelles à l'université Sorbonne Nouvelle. Ce « Disney de Noël » fait plus référence à la période de sortie du film qu’au contenu lui-même : Walt Disney s’est toujours gardé d’évoquer des sujets typiquement américains ou des thèmes chrétiens dans ses dessins animés. Ainsi, aucun court métrage ne met en scène la fête de Thanksgiving ou le 4 juillet, un ou deux seulement parlent de Noël et un seul de Pâques. Et ceux qui évoquent Noël sont plutôt tristes, à l’instar du Noël de Mickey (1983). Sortir un « Disney à Noël » est bien une spécificité française, une stratégie marketing élaborée dès les années 1950 pour notre marché intérieur. Quelques chiffres d’abord. Sur les 56 grands classiques d’animation Disney sortis à ce jour, près de 70 % ont connu leur première française entre octobre et décembre, et ce sans compter les reprises. En effet, tous les films Disney sont sortis plusieurs fois au cinéma à l’instar de Blanche-Neige et les sept nains (sept fois) : mai 1938, décembre 1944, août 1951, décembre 1962, décembre 1973, novembre 1983 et février 1992. Cette concentration des sorties sur la période automnale (37 films sur 56) est en réalité une spécificité française car le marché américain est plus lissé sur l’année bien que l’on observe deux pics : aux États-Unis, les mois de plus forte sorties de films sont novembre (15 sur 56) puis juin (10 sur 56) alors qu’en France il s’agit de novembre (19 sur 56) puis décembre (14 sur 56). L’idée de sortir les longs métrages d’animation Disney pour Noël ne s’est pas imposée d’emblée comme une évidence. Blanche Neige et Pinocchio sont ainsi sortis au mois de mai lors de leur première exploitation, Dumbo en octobre et Bambi en juillet. Durant la deuxième moitié des années 1940, les films sortent de manière relativement désordonnée au cinéma (rappelons que les Français n’ont vu que Blanche-Neige avant-guerre et que durant l’occupation allemande, la projection de films américains est interdite) : Fantasia en novembre, Saludos Amigos en février, Les Trois Caballeros en avril, La Boîte à musique en septembre, Coquin de printemps en mars, Mélodie Cocktail en février. Mélodie du Sud est le premier long métrage Disney à sortir de manière concertée en décembre 1949 sur les écrans français. Après cette date et à quelques rares exceptions, tous les Disney sortiront en France pour les vacances de Noël ; une tradition qui perdure aujourd’hui. Plus surprenant pour nous qui sommes habitués à des sorties mondiales simultanées, si un film Disney sortait en décembre aux États-Unis, la sortie française avait lieu en décembre de l’année suivante (Merlin l’Enchanteur est sorti aux États-Unis en décembre 1963 et en France en décembre 1964). Walt Disney avait fait tout son possible pour que son premier long métrage d’animation soit prêt pour Noël 1937. Malgré tous les efforts du studio, Blanche Neige et les sept nains ne sortira dans les salles américaines qu’en février 1938 (la première mondiale a toutefois bien eu lieu en décembre). Les Américains concentrent en réalité les sorties sur deux périodes particulières de l’année. D’abord, Thanksgiving, le quatrième jeudi de novembre (férié aux États-Unis depuis 1941) permet de préparer le public à Noël (les produits dérivés du film rapportent plus d’argent que le film lui-même) et de préparer une sortie DVD très rapide pour la fin de l’année : aux États-Unis, il n’y a pas de délai légal entre la sortie du film en salles et sa sortie en vidéo, comme c’est le cas en France. Ce long week-end de Thanksgiving est donc une période de choix pour sortir un film Disney. L’autre période très prisée est juin (10 sorties sur 56) : les Américains profitent de la climatisation des salles obscures pour échapper à la chaleur de l’été. On remarque également que les films Disney qui se veulent moins « familiaux » et destinés à un public plus adulte sortent également à cette période. À partir de Toy Story (mars 1996 en France), une règle non-écrite veut que l’on sorte les films Pixar loin de la période hivernale et à partir de Cars (en juin 2006, date coïncidant avec le rachat du studio par la firme Disney), les films sortent uniquement l’été. Les longs métrages en images de synthèse du studio ne ciblent pas le même public (familial) que celui des films Disney.
LES MERCREDIS 27 NOVEMBRE, 4 ET 11 DECEMBRE 2024 Avec Alex Lutz (Gaspard Berthille), Charlotte de Turckheim (Babeth), Nicolas Maury (Adrien Baudry), Anne Marivin (Prune Berthille), Aurore Clément (Crystal), Florence Thomassin (Cookie), Delphine Baril (Olympe), Xin Wang (May-Ling), Dominique Besnehard (Régis), Salomé Dewaels (Coralie), Katarzyna Sawczuk (Teresa), Darren Muselet (Jordan), Audjyan Alcide (Lynette), Nastasia Caruge (Justine), Galia Salimo (Armande), Anna Nowak (Agnieszka), … De nos jours, au cœur de la capitale. Gaspard Berthille (Alex Lutz) est le gérant du Tout-Paris, un cabaret emblématique qui perpétue la légende des « folles nuits parisiennes », aux côtés d'institutions telles que le Paradis Latin. Contrairement à son père, Dary, ancien directeur et mythique meneur de revue, Gaspard a échoué à maintenir le succès de l'établissement. Est-ce à cause d’un spectacle dépassé, d’une gestion défaillante ou d’une concurrence plus innovante ? C’est en tout cas pour Gaspard le moment fatidique de vendre. À moins qu’il fasse le pari fou de créer une nouvelle revue et de redonner au cabaret son lustre d'antan…