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Added on the 03/08/2022 07:00:53 - Copyright : Euronews EN
The massive IT outage, caused when systems running Microsoft Windows crashed, have disrupted air travel around the world including the United States. In Milawaukee, crowds of travelers stand in long lines as they wait to get flight information. IMAGES
C'est la Villeneuvoise Futsal Cup tout le week-end ! Si vous êtes en tram le gymnase est à même pas 10m de l'arrêt La Bruyère, des équipes U13 françaises et étrangères s'affrontent, buvette et merguez sur place. Le tout organisé de main de maître par le Futsal des Géants ! #Grenoble
Une vidéo montrant l’étrange crash d’une Ford Mustang Mach-e 100 % électrique, publiée sur TikTok le jeudi 14 août 2025, a rapidement suscité de nombreuses réactions. Comme toute vidéo virale, elle a fait le tour du monde, jusqu’à atteindre 775 000 vues sur le profil de celui qui a filmé et partagé la scène, sans oublier plus de 70 000 likes et 3 500 commentaires. La vidéo a également été largement repartagée et commentée avec de nombreuses désinformations à la clé. Les partages des images de cet accident ont fait mention de dysfonctionnements de la Ford Mustang Mach-E, ou de sa conduite autonome devenue incontrôlable. Les experts autoproclamés ont ainsi répandu la crainte… pour rien. Comme dans une vidéo récente concernant une BYD, le problème ne repose ni sur la conduite autonome, ni sur un problème de la voiture, mais bien sur l’humain installé derrière le volant. Les images du choc sont assez impressionnantes. Heureusement, les dégâts sont essentiellement matériels, mais les causes de l’accident interpellent. Pour rationaliser le comportement étrange du véhicule, plusieurs hypothèses ont rapidement été avancées : direction bloquée (la Ford Mustang Mach-E n’a pas de « steer by wire »), freinage « brake by wire » (sans lien physique) inopérant, conduite autonome défaillante... Pourtant, il y a quelque chose d’étrange dans la scène filmée par cet automobiliste, qui aurait dû interpeller les spectateurs. Quand le véhicule remonte à la hauteur de l’habitacle de la Ford, on aperçoit le conducteur, la main gauche levée au ciel comme en prière, l’autre serrant fermement le volant par le bas. Certains disent que le conducteur est paniqué, mais rien dans sa gestuelle (si ce n’est le fait de prier) ne le suggère. Face à l’ampleur que prenait la vidéo sur les réseaux sociaux, la police qui est intervenue sur l’accident a publié un communiqué : « Notre enquête a permis de déterminer que le véhicule ne fonctionnait pas en mode autonome et les agents de la CHP ont arrêté le conducteur, soupçonné de conduite sous influence. » L’enquête suit quand même son cours pour pousser les investigations, mais le conducteur n’était manifestement pas dans un état normal au moment de son arrestation. Ce qui pourrait en effet expliquer l’attitude étrange du conducteur dans la vidéo. Ford n’a pour l’heure pas pris la parole sur l’incident.
À Barcelone, Orange propose une démonstration d’un assistant vocal destiné à intégrer ses décodeurs télé. Il permet de poser des questions en langage naturel et utilise GPT-4o pour comprendre ce que veut l’utilisateur.
En attendant notre test complet des AirPods 4, qui arrivera à la fin de semaine, voici notre premier avis sur les nouveaux écouteurs d’Apple dans leur version « réduction de bruit ». À 199 euros, on voit mal comment ils pourraient ne pas devenir un immense succès. Trois ans après les AirPods 3, Apple lancera le 20 septembre 2024 la quatrième génération de ses écouteurs sans-fil, qui s’appellent tout simplement « AirPods 4 ». Au programme de cette révision majeure : un nouveau boîtier plus petit avec plusieurs changements esthétiques, de l’USB-C, un haut-parleur pour les faire sonner en cas de perte et, surtout, l’arrivée des modes réduction de bruit et transparence sur la version la plus chère, commercialisée au tarif de 199 euros (la version la plus abordable, sans ANC, coûte 149 euros). De retour d’un déplacement à Cupertino, au siège d’Apple, Numerama teste depuis plusieurs jours les AirPods 4. En attendant la publication de notre test complet, qui analysera plus en détail la promesse audio, voici un premier retour sur les nouveautés des AirPods 4. Le boîtier des AirPods 4, peu importe la version choisie, est tout petit. C’est bête, mais cela crée une grande différence au quotidien. Par rapport aux AirPods Pro 2, la largeur est presque divisée par deux. Il est plus facile que jamais de transporter les AirPods 4 dans une poche ou dans un sac. La taille n’est pas la seule nouveauté du boîtier des AirPods 4. Parmi les autres changements discrètement introduits par Apple, il y a la disparition du bouton de jumelage à l’arrière. Désormais, il fout tapoter deux fois sur le boîtier pour activer la connexion avec un iPhone, ce qui donne un côté encore plus épuré au produit (à noter qu’il faut aussi impérativement iOS 18). L’indicateur LED, qui est visible en permanence sur tous les AirPods sortis entre 2016 et 2023, devient invisible sur les AirPods 4. La lumière apparaît sous la coque en plastique, comme par magie. Ces choix de design seront probablement adoptés par les futurs AirPods Pro 3, attendus d’ici à la fin de l’année 2025. On pourrait croire que les AirPods 4 ne sont que des sous-AirPods Pro, mais ils les devancent en réalité sur ces quelques aspects. Le boîtier, qui se recharge en USB-C et supporte la recharge sans-fil, est sans doute le plus évolué de l’industrie. Quid du reste ? Le son est en nette progression par rapport aux premières générations d’AirPods, mais nous en reparlerons dans notre test complet, histoire de ne passer à côté d’aucun détail. Notre premier essai du week-end s’est concentré sur une utilisation quotidienne, entre musique, podcasts, messages vocaux et appels FaceTime. Ensuite, tout dépend de vos préférences personnelles. L’auteur de cet article est un amoureux des écouteurs intra-auriculaires, avec des embouts en plastique dans les oreilles. D’autres personnes, en revanche, détestent ce sentiment d’intrusion et préfèrent les écouteurs ouverts, qui se contentent de tenir à l’entrée du canal auditif. Personne n’aura le même avis sur le confort des AirPods 4, mais ce n’est pas réellement un problème. Au quotidien, nous avons trouvé un défaut important aux AirPods 4 : les remettre dans l’oreille s’ils glissent, notamment quand on fait du sport, active ou désactive malencontreusement la réduction de bruit, puisque l’on appuie sur la zone de contrôle. Le problème est moins présent sur les AirPods Pro, qui tiennent beaucoup mieux dans l’oreille. Il faut apprendre à ne pas toucher les écouteurs sur leur tige pour éviter les faux contacts. Autre défaut : on ne peut pas contrôler le volume depuis les écouteurs, alors que c’est possible sur les AirPods Pro. En ce qui concerne la qualité de la réduction de bruit, elle est étrangement très bonne pour des écouteurs ouverts. En l’absence d’une réduction passive (l’entrée des oreilles n’est pas entièrement bouchée), Apple doit se contenter d’antibruit et de réduction active. Le résultat, annoncé comme équivalent à 50 % de la réduction des AirPods Pro, est capable d’annuler le bruit dans un métro quand on écoute de la musique. Il n’est sans doute pas suffisant pour un long voyage en avion, mais devrait faire l’affaire au quotidien. Le mode transparence, qui permet d’entendre le monde comme si on ne portait pas d’écouteurs, est aussi bon que sur les AirPods Pro. Bref, tout nous laisse penser que les AirPods 4, comme leurs prédécesseurs, ont tout pour devenir la référence sur le marché des écouteurs ouverts sans fil. Nous ne serions pas surpris de voir le grand public plébisciter le modèle avec ANC, à 199 euros, malgré l’attractivité du produit plus classique à 149 euros. On a désormais hâte de découvrir les futurs AirPods Pro, qui pourraient faire encore plus grimper le niveau.
Venezuelan opposition leader Edmundo Gonzalez Urrutia is expected to land at the Madrid military airport in Torrejon de Ardoz, Spain, after being granted political asylum, after a month in hiding in the crisis-hit South American country. IMAGES