Description
Added on the 26/02/2023 06:49:01 - Copyright : Euronews EN
Ukrainian air force planes are seen dropping flares and flying at very low altitude while MRLS, also known as 'Grad', are seen firing near Soledar. The fate of Soledar, a war-battered salt mining city in east Ukraine, is unclear, with Russian mercenary group Wagner claiming to control the gateway town while the Kremlin cautioned against declaring victory prematurely. IMAGES
Days after the President of Ukraine Volodymyr Zelensky ordered the estimated 200,000 people to evacuate from the front line region of Donetsk, evacuees arrive in the city of Kropyvnytsky in the Kirovograd Region in central Ukraine. IMAGES
Selon les agences de presse russe, l’autocrate syrien Bachar al-Assad serait arrivé en Russie après la chute de son régime. Plusieurs avions ont été localisés dans le ciel syrien, avec des trajets suspects, qui ont fait émerger de nombreuses théories. Où est Bachar al-Assad ? Selon les premières déclarations du côté russe, le dictateur syrien déchu après la chute de Damas, serait arrivé à Moscou, accompagné de sa famille. La Russie aurait offert l’asile au président déchu pour des « raisons humanitaires », à en croire la presse d’État. Toutefois, aucune image de ses premiers pas à Moscou n’a été diffusée. Une rumeur faisant état d’un crash d’avion a même émergé après un suivi aérien suspect. Tout part d’un avion cargo Ilyushin Il-76T de la Syrian Air, qui prend son envol le 7 décembre, à 03 h 59 heure locale, vers une destination non précisée. D’après les données de Flightradar24, un site spécialisé dans le suivi des avions, l’appareil a initialement pris la direction de la côte méditerranéenne, vers un bastion de la communauté alaouite à laquelle appartient la famille Assad. Deux centres militaires russes majeurs y sont situés : la base aérienne de Hmeimim et la base navale de Tartous. Cependant, après avoir survolé la ville de Homs au milieu du pays, l’avion a fait demi-tour et a commencé à voler de nouveau vers l’est tout en perdant de l’altitude. Le signal a été perdu aux alentours de 04h39, lorsque l’appareil se trouvait à environ 13 km à l’ouest de Homs, à une altitude de seulement 1 625 pieds (495 m). La basse altitude a laissé croire que l’avion pourrait avoir atterri, ou subi un crash. Les circonstances précises de la perte du signal restent floues, mais Flightradar24 a précisé que l’avion était un modèle ancien, équipé d’un transpondeur de génération plus ancienne, ce qui pourrait expliquer des données incorrectes ou manquantes. De plus, l’appareil volait dans une zone soumise à un brouillage GPS, ce qui pourrait également affecter la qualité des informations. Le traqueur n’a pas non plus relevé d’aéroport dans la zone où le signal a été perdu, et aucune information n’a été donnée sur un éventuel crash. Flightradar24 a aussi rapporté qu’un avion militaire russe avait décollé dimanche de l’aéroport international de Lattaquié, à proximité de Hmeimim, avant de se rendre à Moscou. À nouveau, l’identité des passagers à bord reste inconnue. Un autre vol a attiré la curiosité des experts en sources ouvertes. Un jet Embraer Legacy 600, parti d’Abou Dhabi le soir du 7 décembre pour Homs, avant de redécoller plusieurs heures plus tard et revenir à Abou Dhabi, où il s’est posé avant 9h. Rappelons que rien n’indique que ces avions transportaient l’autocrate syrien. Si ce dernier est à Moscou, il sera probablement préservé et caché par le régime russe.
Une vidéo dévoile pour la première fois une attaque de drone contre un hélicoptère de combat russe depuis le début de la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Un autre hélicoptère russe aurait été également abattu une semaine auparavant. En l’espace de deux semaines, deux hélicoptères de combat russes auraient été abattus par des mini drones. Une vidéo a été publiée le 6 août sur plusieurs chaînes Telegram, puis partagée par des blogueurs spécialisés dans l’actualité militaire. L’une d’elles, Voevoda Veshchaet, d’origine russe, indique que l’hélicoptère est fortement endommagé, mais que l’équipage aurait survécu. Ces images sont inédites. C’est la première fois qu’une vidéo montre une attaque de drone contre un hélicoptère de combat depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie. L’avant et la queue de l’appareil permettent d’identifier un hélicoptère de combat Mi-28. Ce modèle est généralement utilisé contre les blindés sur le front. L’appareil est pris en chasse par un drone ukrainien en mode FPV (pilotage en vue subjective). Le média ukrainien Ukrainska Pravda affirme que les forces spéciales ukrainiennes sont à l’origine de cette attaque. Elle aurait eu lieu en Russie, dans les environs de la ville de Koursk, à plusieurs dizaines de kilomètres de la frontière, où des combats font rage en ce moment. Le 31 juillet, une autre attaque de drone contre un hélicoptère russe a été signalée sur la chaîne russe Fighter Bomber. Selon ce canal proche de l’aviation russe, un hélicoptère de transport Mi-8 a été abattu alors qu’il décollait dans la région de Donetsk, une zone occupée de l’Ukraine. Le drone était caché dans les herbes avant de foncer sur l’appareil. Ces deux attaques démontrent une fois de plus la vulnérabilité des équipements militaires traditionnels face à des armes à bas coût et encore difficilement détectables.
Dans ce nouvel épisode des innovations sur le front de guerre entre la Russie et l’Ukraine, on découvre désormais des drones armés de bâtons en bois. Une vidéo publiée ce 25 juillet par les forces armées ukrainiennes montre un drone russe – modèle ZALA – pris en chasse par un appareil ukrainien en mode FPV (pilotage en vue subjective). Le drone ukrainien est équipé d’une perche et va bloquer l’hélice arrière de l’engin adverse. Des méthodes similaires ont déjà été observées. En juin dernier, un autre drone ukrainien avait utilisé la même technique pour mettre à terre un quadrocoptere russe. Les ZALA sont des drones russes de reconnaissances avec une longue endurance – entre 6 à 7 h de vol – développés pour fournir des informations précises à l’artillerie. Chasser les drones avant qu’ils transmettent des données fait partie des missions essentielles sur le terrain. Utiliser des bâtons pour faire tomber des engins de guerre peut paraître simpliste mais « tout est dans le volume aujourd’hui, moins dans la technique » nous indique un ingénieur militaire ukrainien qui préfère rester anonyme. Rappelons que des drones en cartons ont déjà été utilisés lors de ce conflit. Des milliers de drones sont déployés et perdus chaque semaine sur le front, les techniques les plus rudimentaires sont moins couteuses et peuvent donc se révéler efficace.
France's Armed Forces Minister Sebastien Lecornu welcomes US Pentagon chief Lloyd Austin at the Hôtel de Brienne in Paris. IMAGES