Description
Added on the 22/03/2022 20:51:59 - Copyright : France 24 EN
Canadian Prime Minister Justin Trudeau says he will offer an "unreserved" apology in parliament after the legislature publicly celebrated a Ukrainian World War II veteran who fought alongside the Nazis. "In a few moments, I will address the house in front of all Canadians, in front of Jewish people here and around the world, and Ukrainians, to offer Parliament's unreserved apologies," Trudeau tells reporters, referring to the embarrassing incident that marred a visit by Ukrainian President Volodymyr Zelensky. SOUNDBITE
Anti-drug police in northern Peru seize 58 kilos of cocaine destined for Belgium in packages covered in Nazi symbols and with Adolf Hitler's name engraved on them. IMAGES
Et si la meilleure façon de prédire l’avenir n’était pas d’écouter les experts, mais de suivre l’argent ? En 2024, un site a ridiculisé les instituts de sondage américains en prédisant la victoire de Donald Trump bien avant tout le monde. Son nom : Polymarket. Derrière cette plateforme se cache un concept révolutionnaire : les marchés prédictifs. Sur Polymarket, on achète des “actions” sur la réalité. Guerre, économie, rumeurs Apple ou politique : tout s’achète et se vend. L’entreprise est convaincue que les personnes bien informées sont prêtes à trahir des secrets pour leur enrichissement personnel : c’est sur ce concept que tout repose. Sommaire 00:00 - Est-il possible de prédire l'avenir avec de l'argent ? 00:49 - Polymarket, c'est quoi ? 02:12 - Polymarket encourage aux délits d'initiés 03:45 - Les problèmes éthiques derrière Polymarket 04:15 - Polymarket, un phénomène de société 04:05 - Qui décide de l'issue du résultat Polymarket ? 06:00 - Polymarket basé sur la blockchain 06:30 - Polymarket n'est pas disponible dans deux pays... 07:04 - Ce que pense la France de Polymarket 07:40 - Qu'est-ce qu'on risque en France si on parie sur Polymarket ? 08:05 - Polymarket est-il un futur géant de la tech ? 08:35 - Quels sont les conflits d'intérêts derrière Polymarket ? L'article par ici ► https://www.numerama.com/tech/2095031-je-minforme-uniquement-sur-polymarket-a-present-les-paris-en-ligne-predictifs-vont-ils-remplacer-les-medias.html --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
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Suivez @numerama pour anticiper l'avenir ! Sur cet extrait non daté, qui tourne sur les réseaux sociaux depuis au moins le 12 novembre 2025, on voit l'interception d'un drone par un hélicoptère armé d'une mitrailleuse. L'hélicoptère est identifié comme un modèle Mil Mil-8 de l'armée de l'air ukrainienne. Le drone, lui, est associé aux forces russes et a été catégorisé dans la classe Shahed. L’emploi d’une mitrailleuse est considéré comme l’une des options les plus économiques pour détruire ces aéronefs sans pilote, en évitant d’avoir à tirer un missile à plusieurs dizaines ou milliers de dollars.
C’est une preuve supplémentaire de la capacité ukrainienne à porter des coups notables à la Russie en mer Noire, malgré sa supériorité maritime. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, les forces spéciales du service de renseignement militaire de l’Ukraine (GUR) sont parvenues à frapper un navire russe avec un drone aérien. Point notable de l’attaque : elle s’est déroulée à proximité du territoire russe, dans la baie face au port de Novorossiisk, où Moscou a replié une partie de sa flotte, afin de l’éloigner des côtes ukrainiennes, et donc des frappes de missiles ou de drones. C’est cependant une installation toujours à portée de Kiev : des attaques y ont été menées par le passé. Selon le compte-rendu de Kiev, ce bateau « effectuait des reconnaissances radioélectriques et patrouillait » aux abords de Novorossiisk. Le navire est de la classe Spassatel Karev (MPSV07), dont la mise en service remonte à 2015 — c’est aujourd’hui le dernier-né de sa classe. Trois autres navires de cette catégorie existent, lancés en 2012 et 2013. Le Spassatel Demidov — c’est son nom — est « équipé de machines permettant d’explorer les fonds marins et les objets endommagés gisant à des profondeurs pouvant atteindre 1 000 mètres » et « peut effectuer des opérations de plongée sous-marine jusqu’à une profondeur de 300 mètres », selon Ship Technology. C’est un navire polyvalent, relève l’armée ukrainienne, ce que confirme Ship Technology : armé par une vingtaine de marins, il sert au dépannage et au sauvetage, et dispose de capacités de brise-glace. Il n’est en revanche pas destiné au combat directement — on ne trouve ainsi aucune arme spécifique sur le bateau. Il contribue toutefois à la logistique russe. L’attaque a donné lieu à une vidéo dans laquelle on voit le drone foncer vers le navire, avec une caméra en vue subjective en vision nocturne. Il heurte le haut du Spassatel Demidov, un peu au-dessus de la passerelle. La vidéo se coupe à l’impact, ce qui n’empêche pas de constater les dégâts. Kiev reconnaît que ce vaisseau de classe MPSV07 n’a pas coulé — il aurait plutôt fallu viser la coque à hauteur de la surface de la mer, ou en-dessous, pour provoquer une voie d’eau. Cependant, Kiev estime que cela imposera à la Russie des « réparations coûteuses ». Par ailleurs, cela sort du jeu ce bateau, car « hors service ». La frappe a heurté une zone où l’on trouve des équipements de navigation, de renseignement électromagnétique et de communication. Cela illustre de nouveau les effets que peuvent produire des équipements offensifs à bas coût comme un drone face à des cibles de valeur : le navire ciblé a un coût estimé à 60 millions de dollars. Si l’Ukraine met régulièrement en scène ses succès en matière de bataille navale en mer Noire — comme, fin août, son opération réussie contre une corvette de classe Bouïan (Projet 21631), également endommagé après une frappe de drone aérien, en mer d’Azov –, elle enregistre aussi parfois des revers en mer. Ainsi, toujours à la fin du mois d’août, il a été noté qu’un drone de surface russe est parvenu à couler le navire collecteur de renseignement ukrainien Simferopol, alors qu’il se trouvait à l’embouchure du Danube, pas loin de la Roumanie. Signe que, malgré les réussites ukrainiennes, Kiev demeure aussi exposée en mer Noire, y compris près de son territoire.