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Added on the 20/01/2021 10:04:30 - Copyright : AFPTV - First images
L’un des aspects les plus impressionnants dans le monde de la tech, c’est la remontada de Huawei. Huawei, c’était le numéro un chinois du smartphone, et ils n’étaient pas loin de devenir numéro un en France… jusqu’à ce que Donald Trump leur inflige un coup dur : mise sur liste noire, interdiction aux États-Unis, rupture des partenariats avec Qualcomm et Google… Malgré tout, plusieurs années plus tard, Huawei est toujours là, avec un téléphone pliant ultra-fin et un appareil photo surpuissant. Leur prise en main est spectaculaire. Côté écosystème, ils gagnent en indépendance avec leurs propres applications, leur propre OS – certes dérivé d’Android, mais qui leur permet de se détacher progressivement. Ils développent même un écosystème complet d’appareils, incluant des voitures. Et le plus fou ? Aujourd’hui, Huawei fabrique des puces capables de rivaliser avec celles des Américains, alors que personne ne pensait la Chine capable d’y parvenir si vite. L’histoire de Huawei prouve que les États-Unis ont peut-être fait une erreur en tentant d’éliminer cette entreprise. Au lieu de disparaître, Huawei est devenu encore plus puissant. Au MWC de Barcelone, leur stand est le plus grand, ils sont présents dans tous les secteurs : éducation, santé, et bien sûr, smartphones. Leur comeback est indéniable : en Chine, ils sont redevenus numéro un des ventes.
The current President of the European Commission, Ursula von der Leyen, addresses the European Parliament. The MEPs then vote on whether or not to grant her a second term. SOUNDBITE
EU Commission President Ursula von der Leyen hails the EU parliament's adoption of a contentious asylum policy reform as a "huge achievement for Europe". The parliament's main political groups overcame opposition from far-right and far-left parties to pass the new migration and asylum pact -- a sweeping reform nearly a decade in the making. SOUNDBITE
NATO chief Jens Stoltenberg urges the United States to stick with Europe as the military alliance turned 75 on Thursday under the shadow of Russia's invasion of Ukraine and the spectre of Donald Trump's possible return to power in the US. "I don't believe in America alone, just as I don't believe in Europe alone. I believe in America and Europe together in NATO because we are stronger and safer together," Stoltenberg says at a ceremony at NATO headquarters in Brussels. SOUNDBITE
Yulia Navalnaya, widow of Russian opposition leader Alexei Navalny, meets Charles Michel, President of the European Council, in Brussels. The 47-year-old Kremlin critic died in an Arctic prison on February 16 after spending more than three years behind bars, prompting outrage and condemnation from Western leaders and his supporters. IMAGES
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