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Added on the 05/04/2016 13:57:16 - Copyright : Eyewitness Video Online
Selon les agences de presse russe, l’autocrate syrien Bachar al-Assad serait arrivé en Russie après la chute de son régime. Plusieurs avions ont été localisés dans le ciel syrien, avec des trajets suspects, qui ont fait émerger de nombreuses théories. Où est Bachar al-Assad ? Selon les premières déclarations du côté russe, le dictateur syrien déchu après la chute de Damas, serait arrivé à Moscou, accompagné de sa famille. La Russie aurait offert l’asile au président déchu pour des « raisons humanitaires », à en croire la presse d’État. Toutefois, aucune image de ses premiers pas à Moscou n’a été diffusée. Une rumeur faisant état d’un crash d’avion a même émergé après un suivi aérien suspect. Tout part d’un avion cargo Ilyushin Il-76T de la Syrian Air, qui prend son envol le 7 décembre, à 03 h 59 heure locale, vers une destination non précisée. D’après les données de Flightradar24, un site spécialisé dans le suivi des avions, l’appareil a initialement pris la direction de la côte méditerranéenne, vers un bastion de la communauté alaouite à laquelle appartient la famille Assad. Deux centres militaires russes majeurs y sont situés : la base aérienne de Hmeimim et la base navale de Tartous. Cependant, après avoir survolé la ville de Homs au milieu du pays, l’avion a fait demi-tour et a commencé à voler de nouveau vers l’est tout en perdant de l’altitude. Le signal a été perdu aux alentours de 04h39, lorsque l’appareil se trouvait à environ 13 km à l’ouest de Homs, à une altitude de seulement 1 625 pieds (495 m). La basse altitude a laissé croire que l’avion pourrait avoir atterri, ou subi un crash. Les circonstances précises de la perte du signal restent floues, mais Flightradar24 a précisé que l’avion était un modèle ancien, équipé d’un transpondeur de génération plus ancienne, ce qui pourrait expliquer des données incorrectes ou manquantes. De plus, l’appareil volait dans une zone soumise à un brouillage GPS, ce qui pourrait également affecter la qualité des informations. Le traqueur n’a pas non plus relevé d’aéroport dans la zone où le signal a été perdu, et aucune information n’a été donnée sur un éventuel crash. Flightradar24 a aussi rapporté qu’un avion militaire russe avait décollé dimanche de l’aéroport international de Lattaquié, à proximité de Hmeimim, avant de se rendre à Moscou. À nouveau, l’identité des passagers à bord reste inconnue. Un autre vol a attiré la curiosité des experts en sources ouvertes. Un jet Embraer Legacy 600, parti d’Abou Dhabi le soir du 7 décembre pour Homs, avant de redécoller plusieurs heures plus tard et revenir à Abou Dhabi, où il s’est posé avant 9h. Rappelons que rien n’indique que ces avions transportaient l’autocrate syrien. Si ce dernier est à Moscou, il sera probablement préservé et caché par le régime russe.
In Johannesburg, students burn tyres and demonstrate after a passerby was shot dead amid protests over student debt. Students began sporadic protests in early January over the alleged exclusion of some students by a government-sponsored tuition aid scheme. They are demanding that the University of the Witwatersrand allows all students with outstanding debt to register for the 2021 academic year. IMAGES
South Sudan's government and rebel groups have signed a landmark peace deal aimed at ending decades of war in which hundreds of thousands have died. Cheers rang out as one by one, representatives from the transitional government and rebel groups signed the deal, a year after the peace talks began, at a ceremony in the South Sudanese capital Juba. IMAGES
In Akçakale, civilians say goodbye to former Syrian rebels, supported by Ankara, who are travelling to back into Syria for the Turkish offensive. IMAGES
This week our reporters meet those caught in the middle of a military conflict in southern DR Congo, as the Mai Mai militia take on the M23 rebels. Next, we hear from an Ivorian man who claims he was illegally tortured and detained by the army. Finally, we get a sneak peek at the latest dance production by South African choreographer Desiree Davids.
L’engouement morbide autour de Luigi Mangione se transforme déjà en un business lucratif. L’identité du premier suspect dans le meurtre de Brian Thompson, PDG du géant américain de l’assurance UnitedHealthcare, a été révélée le 9 décembre 2024 par la presse américaine. Le visage charmant du potentiel assassin a relancé la fascination cynique du public pour les tueurs présentés comme séduisants. Les experts en renseignement open-source ont rapidement scruté la vie de Luigi Mangione, désormais accessible à tous sur les réseaux sociaux. Le compte X (anciennement Twitter) du jeune homme de 26 ans présentait une bannière montrant une image de Pokémon, ainsi qu’une radiographie de son dos, avec des broches visibles après une intervention chirurgicale. Le Pokémon en question est Chapignon, et il n’y a pas d’explication concrète sur le choix de cette photo pour l’instant. Selon les théoriciens du web, Chapignon serait le 286 Pokémon et ce nombre ferait référence au proverbe 28 : 6 de la Bible : « Mieux vaut le pauvre qui marche dans son intégrité, que l’homme pervers dans ses doubles voies, bien qu’il soit riche. » Une autre hypothèse serait que le code 286 est utilisé lors d’un appel téléphonique avec l’assurance pour comprendre pourquoi une demande de remboursement a été rejetée. L’absence d’explication n’a pas freiné l’enthousiasme autour de ce choix, puisque les peluches de Chapignon trouvent déjà leurs fans. Sur le site de vente officiel de Pokémon, la peluche est actuellement en rupture de stock. Sur eBay, plusieurs vendeurs vident leur stock de Chapignon. Une page affiche 9 ventes de peluche en l’espace de 24h. D’autres sont également en rupture de stock. Une fois l’identité de Luigi Mangione révélée, les publications sur les réseaux sociaux retraçant sa vie se sont multipliées. Instagram ainsi que la plateforme X ont suspendu les comptes du jeune homme. Ses photos de vacances, ses commentaires sur Amazon, ses choix de jeux vidéo ainsi que son train de vie ont été divulgués. On pourrait presque en tirer des enseignements sur ce qu’il convient de publier sur les réseaux sociaux. Rappelons que Luigi Mangione a été traduit en justice et est inculpé de cinq chefs d’accusation, selon une plainte pénale. Le fait divers de cette fin d’année 2024 apporte de nouveaux éléments. Luigi Mangione, inculpé le 9 décembre pour le meurtre de Brian Thompson, PDG du géant américain de l’assurance UnitedHealthcare, aurait utilisé une arme imprimée en 3D, selon la presse américaine. Ce détail est important, puisqu’il s’agirait d’une première dans l’histoire judiciaire américaine. Plusieurs agents de police ont fait état de cette information. Les forces de l’ordre ont commencé à évoquer le fait que Luigi Mangione était en possession d’un « ghost gun », un pistolet fantôme. Concrètement, il s’agit d’une arme intraçable, car elle aurait été achetée en dehors du commerce légal avec des composants séparés. Le commerce de « ghost gun » dure depuis une vingtaine d’années, mais il s’est développé sur des sites opaques depuis que des pièces ont commencé à être imprimées en 3D. Tous les éléments ne sont pas imprimés toutefois, l’acheteur doit aussi se fournir en pièces métalliques. Cependant, une fois qu’il a tout en main, il ne lui reste plus qu’à assembler une arme. Sans numéro de série et sans document, les forces de l’ordre ignoreront que la personne est en possession d’une arme, et cela évite de passer par des trafiquants. Le pistolet de Luigi Mangione s’inspire des modèles de Glock, une marque populaire chez les forces de l’ordre. Sur le réseau social Reddit, certains utilisateurs se vantent d’avoir assemblé leur pistolet avant de l’essayer au stand de tir. Plusieurs sites proposent d’imprimer directement son arme chez soi.