Description
Added on the 23/02/2017 18:17:16 - Copyright : RT Ruptly EN
Meet Samson, the largest house cat in not just New York, but probably the entire world.
Avec la fonction Try it on, Google vous permet d'essayer n'importe quel vêtement sur vos photos ! L'IA vous scanne, ajoute le vêtement choisi et génère une nouvelle photo pour vous aider à décider avant de passer à l'achat.
C'est un téléphone pour animaux de compagnie. Oui, c'est super bizarre, mais regardez-moi ça ! Le concept est simple : un petit boîtier s'accroche au collier d’un chien ou d’un chat et permet, à tout moment, de l’appeler depuis une application. Si vous êtes au travail et que vous voulez le rassurer, vous pouvez lui envoyer un message avec votre voix. L’une des particularités amusantes de ce produit, c'est que si l’animal bouge, cela peut automatiquement déclencher un appel sur votre téléphone ou vous envoyer une notification. Par exemple, si un chien commence à stresser, l’appareil peut détecter son agitation et déclencher un appel vers son propriétaire. Vous recevez alors l’appel et pouvez discuter avec lui. Comme ça, c’est vrai que ça ressemble à un gadget. Mais quand on a un jeune animal à la maison, on s’inquiète souvent pour lui et on aimerait savoir dans quel état on va le retrouver en rentrant le soir. Grâce à ce dispositif, on peut se rassurer un peu et même lui apprendre à interagir avec nous. Bon, il y a aussi de grandes chances que l’animal n’en ait rien à faire et qu’il ignore complètement le son, mais ça reste une innovation amusante. Imaginez un jour où chaque chien ou chat aurait son propre téléphone !
Deux études, américaine et japonaise, ont découvert pourquoi certains chats sont de couleur orange. Ces études, pas encore revues par des pairs et mises en ligne à la fin du mois de novembre 2024, arrivent à la même conclusion qui implique la surexpression d’un gène. Boules de poils à la teinte de feu, chaotiques, mais affectueux, le mystère de la teinte des chats roux vient d’être percé. Sans se concerter, deux équipes de chercheurs, l’une américaine supervisée par Gregory Barsh de l’Université de Standford et l’autre japonaise, supervisée par Hiroyuki Sasaki de l’Université Kyushu, sont arrivées à la même conclusion concernant l’explication de la couleur orange de certains chats. Les études, non revues par les pairs pour le moment, ont été mises en ligne à la fin du mois de novembre 2024 sur le serveur bioRXiv. Un gène surexprimé chez les chats roux Les études démontrent que dans les cellules de peau (appelées mélanocytes) d’où poussent des poils orange, il y a une expression trop importante du gène Arghgap36. Les chercheurs ont d’abord émis l’hypothèse d’une mutation dans la section codante de l’ADN (la partie qui aboutira à la formation d’une protéine). Cependant, ils ont finalement réalisé qu’il manquait simplement une petite partie d’ADN non-codant (qui n’a donc pas de rôle dans la formation de la protéine finale). Cette partie manquante jouerait, par contre, un rôle dans la régulation de l’expression du gène Arhgap36. Hiroyuki Sasaki explique dans son étude : « La région supprimée contient un élément régulateur putatif hautement conservé, dont la suppression provoque probablement une altération de l’expression d’ARHGAP36 ». Dans la revue Science, Gregory Barsh, auteur de l’étude américaine de l’Université de Standford, explique en parlant du gène Arhgap36 : « Il est impliqué dans de nombreux aspects du développement embryonnaire et des mutations majeures affectant sa fonction dans tout le corps tueraient probablement l’animal. Il semble que chez les chats, cela est présent juste dans les mélanocytes ». L’implication du chromosome X Ce gène, responsable de la couleur rousse des chats, se localise sur le chromosome X. Chez les mâles, il sera donc forcément exprimé dans toutes les cellules, puisqu’il est seul. C’est ce qui explique que les mâles sont entièrement roux. En revanche, puisque les femelles possèdent 2 chromosomes X dans chaque cellule, il y en a toujours un des deux qui est inactivé. Les gènes situés sur ce chromosome X inactivé ne seront donc pas exprimés dans cette cellule. Et c’est pourquoi les femelles ont le plus souvent un pelage plutôt en patchwork, mélangeant le roux et le brun ou le noir. Ces recherches permettent de mieux comprendre des phénomènes génétiques, et de saisir la complexité des interactions entre les gènes pour améliorer les recherches à venir. Leslie Lyons, généticienne féline à l’Université du Missouri, déclare au magazine Science : « Les recherches sur la couleur des chats ont révélé toutes sortes de phénomènes, y compris la façon dont l’environnement influence l’expression des gènes. Tout ce que vous devez savoir sur la génétique, vous pouvez l’apprendre de votre chat. » Une belle conclusion qui nous confirme donc que nous, humains, avons tout à apprendre de nos souverains, les chats.
Les trois sœurs Chamade continuent de tutoyer les sommets des audiences de TF1, chaque lundi soir, avec Cat’s Eyes. Mais les précieux tableaux récupérés par ces voleuses d’art sont-elles de vraies œuvres ? Chaque lundi soir, depuis le 11 novembre 2024, des millions de Français se rassemblent sur TF1 pour chanter à tue-tête un générique culte de leur enfance : « Sœurs et solidaires, sur terre ou en l’air, relevant tous les défis… Cat’s Eyes ! Signé Cat’s Eyes ! » La nouvelle adaptation du manga de Tsukasa Hōjō cartonne ainsi sur la chaîne, en nous racontant l’histoire de Tamara, Alexia et Sylia, trois héroïnes cherchant à récupérer de précieux tableaux, ayant appartenu à leur père disparu. Elles parcourent alors de prestigieux lieux parisiens, de la tour Eiffel jusqu’au musée du Louvre, pour mettre la main sur ces chefs-d’œuvre artistiques. Mais les Cat’s Eyes volent-elles de véritables tableaux ? Dans la série phare de TF1, une peinture singulière se trouve au centre de toutes les convoitises : le fameux Cat’s Eye. Si inestimable soit-il, ce tableau, qui reprend le logo utilisé par les trois sœurs lors de leurs cambriolages, est pourtant une création originale, comme l’a souligné Télé-Loisirs. Imaginée par Hervé Gallet, chef décorateur de la série, et la graphiste Frédérique Frick, cette toile d’inspiration cubiste reprend ainsi les couleurs iconiques des trois héroïnes, que l’on peut notamment apercevoir sur leurs combinaisons : l’orange, le bleu et le violet. Dès l’épisode 1 de Cat’s Eyes, les trois sœurs mettent la main sur un kakemono japonais, sur lequel Tam aurait dessiné une patte de chat pendant son enfance. Le média Beaux Arts nous apprend qu’il s’agit véritablement d’une peinture sur soie, réalisée vers 1830 par Taguchi Fujinaga, un ancien élève d’Hokusai (créateur de la fameuse Grande Vague de Kanagawa). Cette Belle Gidayuu avec un chat est désormais conservée dans les collections de l’École nationale des beaux-arts de Paris, depuis 1907. Le site des Beaux Arts souligne également que le tableau nommé Jeune Fille et son chien, dérobé par Sylia et Tamara dans l’épisode 2, est une véritable peinture de Jean-Honoré Fragonard, imaginée en 1770 et conservée à la Alte Pinakothek de Munich. Pour mieux comprendre toutes les petites références artistiques cachées dans Cat’s Eyes, nous vous conseillons vivement de lire l’intégralité de l’excellent article concocté par Beaux Arts, en attendant de découvrir le grand final de la saison 1, le 9 décembre 2024 sur TF1.
Un robot 100% électrique qui travaille à l’usine C’est la dernière prouesse technologique qu’a dévoilé Boston Dynamics, une entreprise américaine spécialisée dans la robotique qui avait commencé avec des robots chiens. Mais comment en sont-ils arrivés à leur dernière version d’Atlas, ce robot humanoïde d’1m88 qui aide Hyundaï dans sa production de voiture ? À la base, en 2016, la première version de cet androïde mesurait 1m75 pour 82kg et pouvait marcher et maintenir son équilibre, même bousculée. L’année suivante, la seconde version peut porter et jeter des colis, sauter et même faire un salto arrière. En 2020, le robot se met carrément à faire du parkour et à danser avec ses collègues. Ces dernières versions étant hydrauliques, Atlas est maintenant passé à une version électrique, permettant une plus grande amplitude de mouvement avec des câbles moins gênants et des moteurs plus puissants. L’androïde est capable de faire des pompes et de trier des pièces en corrigeant ses erreurs. Ses capacités seront testées dans les usines Hyundai pour libérer les humains des charges lourdes et des tâches accablantes. Un destin prometteur.