Description
Added on the 04/04/2012 23:12:33 - Copyright : TvShowsTrailers - BA
S’il y a bien une artiste qui avait toute sa place dans l’ambiance gothique de Mercredi, c’est évidemment Lady Gaga. Alors, lorsque la célèbre chanteuse a annoncé qu’elle allait rejoindre la série Netflix, les fans trépignaient déjà d’impatience à l’idée de la retrouver sur le petit écran, dix ans après sa première apparition dans American Horror Story. Leurs prières ont été exaucées le 3 septembre 2025, avec la mise en ligne des derniers épisodes de la saison 2 de Mercredi, dans lesquels Lady Gaga tient un rôle central. Et pour sa grande entrée aux côtés de la famille Addams, rien n’a été laissé au hasard, surtout pas son costume, plutôt singulier. Après des mois d’attente, Lady Gaga a donc fini par débar quer sur Netflix dans l’épisode 6 de la saison 2 de Mercredi. Elle y incarne Rosaline Rotwood, une ancienne prof de l’académie Nevermore et accessoirement un… fantôme. C’est elle qui est à l’origine de l’échange de corps entre Enid et Mercredi, dans l’une des meilleures séquences de ces nouveaux épisodes. Pour lui donner vie, la costumière Colleen Atwood s’est inspirée de la nature même du personnage, qui est un Raven, comme elle l’a confié à Variety. Pour l’occasion, elle a utilisé un « tissu français, qui mélangeait la laine et le papier crépon », afin de créer la robe de Lady Gaga. Non seulement la France a un lien avec sa tenue, mais elle cache aussi le détail qui tue : « Il était brodé avec de la soie et des véritables plumes ». Pour Colleen Atwood, il s’agissait d’une évidence : « Elle a vécu dans les années 1930, donc c’était l’influence principale de cette robe. Et on s’est aussi beaucoup inspirés des oiseaux, comme les corbeaux. » À l’origine, l’actrice devait même avoir des épaules plus dessinées, « très pointues, comme si un oiseau commençait à déployer ses ailes, mais à cause de l’action de la scène, nous avons dû revoir nos ambitions à la baisse ». Les longues manches de sa robe rappellent toutefois l’allure de majestueuses ailes. Pour terminer le look, Colleen Atwood a eu l’idée de déposer de la crêpeline, un tissu de soie très léger, sur le visage de Lady Gaga : « C’est un tissu qui peut légèrement s’envoler, pour la rendre encore plus fantomatique. On voit bien le gris à travers elle, et elle a adoré l’idée. »
Des tresses parfaitement symétriques, des yeux qui ne clignent jamais, une garde-robe démunie de toute couleur et un sarcasme à toute épreuve : pas de doute, Mercredi Addams est bien de retour. L’héroïne de la série Netflix est ainsi au cœur de nouvelles intrigues macabres dans la saison 2, disponible depuis le 6 août 2025. Des épisodes plus gothiques que jamais, qui ont en partie été dirigés par le maître du genre : Tim Burton, bien sûr. On reconnaît d’ailleurs sa patte graphique dans une séquence bien particulière, tout en stop-motion et en noir et blanc, qui a demandé un travail colossal aux équipes de production. L’épisode 1 de la saison 2 de Mercredi met ainsi en scène l’histoire du tronc en forme de crâne et de son illustre occupant souterrain : un jeune garçon au cœur défaillant qui décide de se sauver en créant lui-même une invention spéciale. Une séquence entièrement tournée en stop-motion, qui fait évidemment référence aux précédentes œuvres de Tim Burton, parmi lesquelles Vincent, Les Noces Funèbres et Frankenweenie. Pour les créateurs de la série, Alfred Gough et Miles Millar, il s’agit aussi d’une « façon très ludique de raconter notre histoire, tout en donnant une touche complètement unique à notre univers », comme ils le racontent dans le making-of partagé par Netflix, le 11 août 2025. Tim Burton, lui, a toujours « adoré cette technique, ce toucher visuel si particulier » et souhaitait « reprendre les codes du conte », comme s’il nous racontait une vieille légende, grâce au côté « mystérieux et inquiétant » du stop-motion. Un pari réussi pour cette scène de seulement 90 secondes, qui fourmille de détails effrayants et qui a demandé 8 mois de travail méticuleux, à la main, pour lui donner vie. « Concrètement, l’animateur prend une photo d’une pose, puis ajuste légèrement la position, reprend une photo, et ainsi de suite. », détaille Chris Tichborne, l’animateur qui a supervisé toute la séquence en stop-motion. « Ensuite, on assemble toutes ces images pour créer le film. » Une quinzaine de marionnettes a ainsi été mobilisée sur le tournage, élaborées avec des costumes spécifiques pour évoluer dans une dizaine de décors différents, majoritairement créés grâce à du matériel de récupération. Tout était prévu pour les entretenir sur place, puisqu’un hôpital dédié aux marionnettes a même été mis en place pour l’occasion. Tim Burton, de son côté, a réalisé de nombreux croquis préparatoires, ainsi que des sculptures de base, dont la tête du jeune garçon au cœur de l’histoire. Cela ressemblait alors à un morceau de bois taillé, dans lequel des brindilles de métal avaient été plantées, une à une. Même l’explosion de la tour de l’horloge était bien réelle, comme l’explique Chris Tichborne : « Tout ce qu’on a filmé existe dans la vraie vie. Toutes les flammes ont été faites en savon glycériné, avec une lumière placée derrière, car c’est ce qui donne le meilleur rendu de flammes. » C’est ce que l’on appelle une masterclass.
L'acteur Guillaume Labbé , actuellement à l'affiche de la deuxième (et dernière) saison de Escort Boys par Ruben Alves, nous parle intimité
À l'occasion des 10 ans de l'Apple Watch, Apple donne des badges collector dans tous ses points de vente.
Le 24 avril 2015, Apple lançait l’Apple Watch, sept mois après sa présentation lors du keynote de l’iPhone 6. La montre connectée était grandement décriée à ses débuts, mais s’est imposée comme un des produits de référence de l’écosystème Apple. Dix ans plus tard, elle règne même sur le secteur de l’horlogerie. Il y a 10 ans, Apple s’aventurait sur une nouvelle catégorie de produits : les montres connectées. L’Apple Watch, première révolution de l’ère Tim Cook, était présentée comme un accessoire de luxe, à mi-chemin entre le fitness et la mode. Apple voyait en elle le compagnon ultime de l’iPhone, celui que l’on portait en permanence sur son poignet. L’Apple Watch première du nom a été commercialisée le 24 avril 2015 à un prix assez étonnant : entre 399 et… 18 000 euros. Dix ans plus tard, Apple fête les 10 ans de sa montre avec un pin’s collector que les passionnés peuvent récupérer en Apple Store. La marque a déjà commercialement fêté ce dixième anniversaire avec l’Apple Watch Series 10, qui a introduit un léger redesign en septembre 2024. La montre connectée s’impose plus que jamais comme un produit clé de son écosystème.