Description
Added on the 05/04/2019 15:00:09 - Copyright : Warner Bros Games
The Flash est le pire film de super-héros que j'aie vu de ma vie #theflash #dcuniverse
Qui est cette Supergirl aux cheveux courts et bruns dans le nouveau trailer de Flash diffusé au Superbowl ?
Comment passe-t-on de la console la plus vendue de sa génération à l’un des plus gros accidents industriels du jeu vidéo ? En 2006, Nintendo était intouchable avec la Wii et la DS. Mais en 2012, la firme a failli tout perdre. Dans cette vidéo, on revient sur l'histoire fascinante de la Wii U : un pari technologique audacieux gâché par une communication désastreuse et un nom incompréhensible. Pourtant, sans ce flop monumental à 170 millions de pertes, nous n'aurions jamais eu la Nintendo Switch. Numerama est partenaire de l'exposition Flops ?! au Musée des Arts et Métiers. Pour découvrir des tas de flops et leur rebonds éventuels, réservez vos places ici : https://expo.paris/exposition/flops-musee-des-arts-et-metiers-2025 Sommaire 00:00 - L'âge d'or de la Wii et l'arrogance de Nintendo 01:02 - "C'est un accessoire ?" : Le malentendu made in Nintendo 02:35 - Pourquoi la mablette (GamePad) était une fausse bonne idée 04:40 - Comment la Wii U a secrètement donné naissance à la Switch L'article par ici ► https://www.numerama.com/tech/2129657-comment-la-wii-u-a-plonge-nintendo-dans-lune-des-pires-crises-de-son-histoire.html --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
C’est un désastre pour SpaceX. Dans la nuit du 18 au 19 juin 2025, un test de l’étage supérieur avec l’exemplaire « Ship 36 » a mal tourné. Il a explosé, et a endommagé l’unique centre de test de l’entreprise. Les dégâts apparaissent importants et pourraient fortement ralentir le développement de la fusée géante Starship. C’est un énorme coup dur pour SpaceX, qui risque de retarder pour un bon moment le développement du Starship. Dans la nuit du 18 au 19 juin 2025, un test de l’étage supérieur de la fusée géante a très mal tourné, et viré à la catastrophe. La structure a soudainement explosé, et dévasté une partie du centre de test, au Texas. L’incident, filmé, montre le dernier exemplaire de cet étage (« Ship 36 ») sur son banc d’essai, lors de vérifications visant à préparer la structure pour le vol d’essai n° 10 — qui était censé advenir assez rapidement, en juin ou en juillet. Puis, un évènement s’est manifestement déclenché au sommet de cet étage, avant d’exploser. À ce stade, le matin du 19 juin, le fondateur et patron de SpaceX, Elon Musk, n’a pas encore réagi publiquement, pas plus que Gwynne Shotwell, la présidente et la directrice des opérations. Mais l’entreprise d’astronautique a publié sur X une réaction reconnaissant la réalité de ce raté. Les causes profondes, à ce stade, restent à déterminer. « Le Starship, qui se préparait à effectuer son dixième essai en vol, a connu une anomalie majeure alors qu’il se trouvait sur un banc d’essai de Starbase [qui accueille le poste de Massey où a eu lieu l’explosion, NDLR]. Une zone de sécurité autour du site a été maintenue tout au long de l’opération et tout le personnel est sain et sauf », est-il écrit. « Notre équipe de Starbase travaille activement à la sécurisation du site d’essai et de ses environs immédiats, en collaboration avec les autorités locales », poursuit le groupe, assurant « qu’il n’y a aucun risque pour les résidents des communautés environnantes. […] Les opérations de sécurisation se poursuivent. » L’ampleur des dégâts à Massey reste à évaluer, mais c’est ici que la société procède d’ordinaire aux mises à feu statique de l’étage supérieur (c’est-à-dire l’allumage de la motorisation pour vérifier son fonctionnement, sans réel décollage), mais également aux tests cryogéniques du premier étage (Super Heavy) et de l’étage supérieur. En somme, on y réalise aussi la plupart des tests de conception pour les moteurs, les structures, les propulseurs et les réservoirs, dans le cadre du développement du Starship. À Starbase, le site de Massey constitue l’un des trois grands emplacements, avec le site de production (Starfactory) et le site de lancement, le long de la côte. Les deux autres lieux ne sont pas endommagés, compte tenu des distances importantes qui les séparent de Massey. Cependant, la destruction, même partielle, de ce centre de test devrait ralentir pendant des semaines, voire des mois, la conception de la fusée géante, le temps de tout remettre en état. L’affaire, en tout cas, va aussi interroger un peu plus la fiabilité du Starship « Block 2 ». Il s’avère que le modèle testé (« Ship 36 ») appartient à cette deuxième génération d’étage supérieur. Or, depuis sa mise en service en début d’année, celui-ci n’a que des problèmes : en trois tentatives, il s’est systématiquement désintégré dans l’atmosphère.
L'acteur Guillaume Labbé , actuellement à l'affiche de la deuxième (et dernière) saison de Escort Boys par Ruben Alves, nous parle intimité
Thunderbolts* vient de changer de nom, grâce à une campagne marketing plutôt ingénieuse de la part de Marvel. Il s’agit d’un immense spoiler, qui nous révèle enfin la signification du mystérieux astérisque du titre. Il était là pendant tout ce temps, discret, mais tout de même remarquable, invitant les fans à élaborer les théories les plus folles à son sujet : l’astérisque de Thunderbolts* vient enfin de prendre tout son sens. Moins d’une semaine après sa sortie au cinéma, aux États-Unis, le 2 mai 2025, le dernier film Marvel bénéficie ainsi d’une immense campagne marketing visant à changer son nom. Une décision liée à la dernière scène post-générique, qui sera capitale pour l’avenir du MCU. Explications. Pour promouvoir son nouveau long-métrage, Marvel n’a pas hésité à mettre les petits plats dans les grands. Après avoir fait durer le suspense pendant des mois, laissant entendre que l’astérisque du titre n’était pas anodin, Thunderbolts* a donc connu une légère cure de jouvence ces derniers jours. Les affiches ont alors été modifiées du jour au lendemain pour laisser apparaître un nouveau nom : New Avengers. Le casting s’est même réuni pour l’occasion, déchirant le titre original pour en révéler le nouveau, le 5 mai 2025. Sebastian Stan, qui incarne le Soldat de l’Hiver, a aussi pu faire des siennes, à un arrêt de bus. Les comptes officiels des Avengers ont, eux aussi, connu un léger changement, en arborant un petit devant leur nom, suggérant une notion de copyright. À l’heure actuelle, aucune campagne de ce genre n’est prévue en France et, a priori, cela n’affecte pas réellement le nom officiel de Thunderbolts*. Si le site américain Fandango, qui permet de réserver des billets de cinéma, propose désormais des tickets pour New Avengers, le film devrait tout de même conserver son appellation pour son exploitation au cinéma, puis en DVD et en streaming. L’idée est seulement d’ajouter une sorte de sous-titre à cette production Marvel. Un changement parfaitement contrôlé puisqu’il révèle en réalité le twist final du film. Cela est lié à l’une des deux scènes post-générique qui concluent le film, située plus d’un an plus tard, dans la célèbre tour des Avengers. Les Thunderbolts arborent de nouveaux costumes et sont désormais identifiés comme les Nouveaux Avengers. Une demande de la part de leur boss, Valentina Allegra de Fontaine, qui passe très mal auprès de l’équipe originale, et notamment auprès de Sam Wilson, aka l’ex-Faucon et le nouveau Captain America. Pour comprendre la bataille juridique qui les oppose, il faut se souvenir des évènements de Brave New World, dans lequel le président américain Thaddeus Ross demandait justement à Sam de reformer les Avengers. Autant dire que le nouveau Captain America n’a donc clairement pas envie qu’une nouvelle équipe vienne empiéter sur ses plates-bandes (d’où le nouveau devant le nom des Avengers, sur les réseaux sociaux). Face à ce conflit, Red Guardian propose une solution plutôt fun : changer leur nom pour « New Avengerz ». Quoi qu’il en soit, ce nouveau patronyme n’est évidemment pas inconnu au bataillon puisque l’équipe existe déjà dans les comics. Au fil du temps, la composition des New Avengers a évolué à de multiples reprises, recrutant d’abord Wolverine, Spider-Man, Luke Cage ou même Captain America, avant de compter d’autres recrues parmi ses rangs. En attendant de découvrir Avengers : Doomsday en 2026, Marvel fait ainsi patienter ses fans en leur présentant une équipe capable de prendre la relève d’Iron Man, Hulk ou encore Thor, si nécessaire. Cela signifie surtout que le prochain Avengers réunira l’équipe originale, les Thunderbolts* ainsi que les Quatre Fantastiques, dont le logo peut être aperçu à la fin de la scène post-générique. Pendant des mois avant la sortie du film, les fans de Marvel avaient plutôt parié sur une autre révélation : la transformation des Thunderbolts en Dark Avengers, une équipe de super-vilains également présente dans les comics, dans laquelle on retrouve The Sentry. Avec le marketing qui entoure les New Avengers, Marvel dément finalement ces théories, tout en reprenant entièrement le contrôle sur les spoilers. Quoi de mieux pour éviter la propagation d’un twist majeur sur les réseaux sociaux que de le révéler soi-même, au grand dam des fans ? Cette campagne plutôt osée permet ainsi de lier la trame narrative de Thunderbolts*, en suggérant que Valentina Allegra de Fontaine a eu gain de cause dans la bataille judiciaire qui l’opposait à Sam Wilson et qu’elle peut désormais afficher le nom de New Avengers, à un intérêt financier non négligeable pour Marvel. Tout cela donne évidemment envie à tout un nouveau public de venir découvrir le film en salles, pour comprendre pourquoi il a mystérieusement été doté d’un nouveau titre et dans quelle mesure les fameux Avengers sont impliqués, ou non, dans l’intrigue.