Description
Added on the 27/06/2013 01:23:04 - Copyright : Paramount Pictures UK
Le marketing de Barbie va trop loin. Une Barbie géante à Dubaï, des Crocs Roses, des Xbox Roses, un Barbie Burger disponible chez Burger King avec une sauce Rose, un frappuccino rose néon de chez Starbucks, un dentifrice Rose de chez Moon, la pub Duolingo spéciale Barbie, le film de Greta Gerwig est absolument partout, grâce à un budget marketing colossal de 150 Millions de dollars, soit plus que le budget du film lui-même ! La bande originale du film qui se paie le luxe de featurer Billie Eilish, Lizzo, Tame Impala, Nicki Minaj et Dua Lipa aura aussi beaucoup aidé à faire la promo du film, avec la playlist officiele de Spotify. La mode est importante dans l’univers Barbie : Zara l’a bien compris avec sa boutique pop-up spéciale Barbie sur les champs Elysées, et pour assortir votre animal de compagnie Canada Pooch a sorti une collection de vêtements pour chiens inspirés du film. Et pour finir le look, Maserati a sorti une Grecale Barbie en édition ultra-limitée. Mais le point culminant de cette promo, c'est la Barbie Dream House qui a été construite pour de vrai à Malibu et qu’il était possible de louer via AirBnb ! Et tout ça c’est sans parler des réseaux sociaux qui ont surfé à fond sur la vague “Barbenheimer” en partageant des memes et des montages
C’est une brusque montée des tensions, qui pourrait aggraver un peu plus les relations déjà dégradées entre la Russie et les pays membres de l’OTAN. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, un incident aérien important s’est produit aux marches orientales de la Pologne : plusieurs drones russes ont franchi la frontière, violant son espace aérien. C’est le commandement opérationnel des forces armées polonaises qui a tiré l’alarme en premier sur les réseaux sociaux. Peu après minuit, il a été annoncé dans un premier temps le déploiement d’avions polonais et alliés pour sécuriser le ciel et la mise en alerte des systèmes terrestres de défense aérienne et de suivi radar. Une attaque massive contre l’Ukraine En effet, Moscou lançait cette nuit une énième attaque nocturne contre Kiev. Selon le décompte de l’armée de l’air ukrainienne, il a été détecté 458 drones de combat (dont plus de 215 de type Shahed, un aéronef sans pilote fourni par l’Iran), 42 missiles dont des Kalibr ainsi qu’un missile balistique Iskander, pouvant accueillir potentiellement une charge nucléaire. Côté ukrainien, la défense aérienne a été une nouvelle fois engagée et, selon le bilan donné sur Telegram, au moins 413 cibles ont été détruites (386 drones, 27 missiles) sur les 458 projectiles détectés. Mais 16 missiles et 21 drones sont passés et ont frappé l’Ukraine en dix-sept endroits. Et les 8 autres ? Ils sont passés en Pologne. Ainsi, selon l’armée de l’air ukrainienne, « au moins huit drones ennemis ont franchi la frontière ukrainienne en direction de la Pologne ». Une traversée de la frontière confirmée dans la nuit par les autorités militaires et politiques polonaises, à travers les prises de parole du commandement opérationnel des forces armées et du Premier ministre Donald Tusk. « L’espace aérien polonais a été violé de manière sans précédent par des drones. Il s’agit d’un acte d’agression qui représente une menace réelle pour la sécurité de nos citoyens », a écrit le commandement. « Sur ordre du commandant opérationnel des forces armées, des procédures défensives ont été immédiatement lancées. » Cette violation de l’espace aérien polonais par de multiples drones russes n’est cependant pas restée sans réponse. L’ordre a été donné pour abattre les huit drones. « Une opération liée à de multiples violations de l’espace aérien polonais est en cours. L’armée a utilisé des armes contre les cibles », a annoncé Donald Tusk. Une opération qui, selon l’armée polonaise, ont aussi mobilisé au moins un pays allié, les Pays-Bas, avec l’engagement d’avions F-35. En effet, dans le cadre du renforcement du flanc est de l’OTAN, organisation dont ces deux pays sont membres, des renforts militaires ont été déployés en Pologne, en Roumanie et dans les pays baltes. Concernant les Pays-Bas, 300 soldats ont été envoyés cet été en Pologne, deux batteries de défense aérienne Patriot et des avions de chasse F-35. On trouve aussi également un gros contingent américain (10 000 hommes) et des forces norvégiennes, avec là aussi des chasseurs F-35. D’autres pays y participent aussi, occasionnellement, comme la France. L’implication de F-35 dans la défense aérienne polonaise a été repérée sur le site de suivi aérien FlightRadar24, a relevé le site OSINTtechnical. Il a été aussi aperçu au moins un avion ravitailleur A330 MRTT, qui a tourné dans le ciel afin de permettre, si besoin, aux autres aéronefs de refaire le plein de carburant et de rester en l’air. Les officiels de l’OTAN ont confirmé la participation des moyens de défense aérienne de l’organisation. Le gouvernement néerlandais a aussi confirmé la mobilisation de F-35 pour soutenir la Pologne, tout en dénonçant la Russie. C’est une preuve supplémentaire que la Russie « constitue une menace pour la sécurité européenne », a réagi le Premier ministre Schoof. En raison de la présence de la Pologne au sein de l’OTAN, un « contact permanent » a été établi avec le secrétaire général de l’organisation militaire, le Néerlandais Mark Rutte. Mais, dans le message du Premier ministre Donald Tusk, il n’a pas été question d’une activation de l’article 5 du traité, qui prévoit un soutien de tous les membres. En revanche, l’article 4 a été officiellement invoqué. Celui-ci expose que « les parties se consulteront chaque fois que, de l’avis de l’une d’elles, l’intégrité territoriale, l’indépendance politique ou la sécurité de l’une des parties sera menacée ». Cela pourrait déboucher sur des décisions, dont un appui supplémentaire sur place. L’incident survenu cette nuit apparaît comme un argument supplémentaire en faveur de Skyshield. L’idée ? Étendre la couverture aérienne de l’OTAN à une large partie de l’Ukraine, au moins tout l’ouest, jusqu’à Kiev, et peut-être le long du Dniepr, et le sud. Ainsi, les projectiles menaçants pourraient être interceptés bien plus tôt.
On le sait, les bombardements entre Israël et l’Iran ont commencé le 13 juin dernier. Mais ce qu’on sait moins, c’est ce que la cyberguerre entre ces deux États dure depuis des décennies. Amine, journaliste cyberguerre chez Numerama explique le fonctionnement de la cyberguerre en temps de conflit au micro du talk-show politique Backseat.
Thunderbolts* vient de changer de nom, grâce à une campagne marketing plutôt ingénieuse de la part de Marvel. Il s’agit d’un immense spoiler, qui nous révèle enfin la signification du mystérieux astérisque du titre. Il était là pendant tout ce temps, discret, mais tout de même remarquable, invitant les fans à élaborer les théories les plus folles à son sujet : l’astérisque de Thunderbolts* vient enfin de prendre tout son sens. Moins d’une semaine après sa sortie au cinéma, aux États-Unis, le 2 mai 2025, le dernier film Marvel bénéficie ainsi d’une immense campagne marketing visant à changer son nom. Une décision liée à la dernière scène post-générique, qui sera capitale pour l’avenir du MCU. Explications. Pour promouvoir son nouveau long-métrage, Marvel n’a pas hésité à mettre les petits plats dans les grands. Après avoir fait durer le suspense pendant des mois, laissant entendre que l’astérisque du titre n’était pas anodin, Thunderbolts* a donc connu une légère cure de jouvence ces derniers jours. Les affiches ont alors été modifiées du jour au lendemain pour laisser apparaître un nouveau nom : New Avengers. Le casting s’est même réuni pour l’occasion, déchirant le titre original pour en révéler le nouveau, le 5 mai 2025. Sebastian Stan, qui incarne le Soldat de l’Hiver, a aussi pu faire des siennes, à un arrêt de bus. Les comptes officiels des Avengers ont, eux aussi, connu un léger changement, en arborant un petit devant leur nom, suggérant une notion de copyright. À l’heure actuelle, aucune campagne de ce genre n’est prévue en France et, a priori, cela n’affecte pas réellement le nom officiel de Thunderbolts*. Si le site américain Fandango, qui permet de réserver des billets de cinéma, propose désormais des tickets pour New Avengers, le film devrait tout de même conserver son appellation pour son exploitation au cinéma, puis en DVD et en streaming. L’idée est seulement d’ajouter une sorte de sous-titre à cette production Marvel. Un changement parfaitement contrôlé puisqu’il révèle en réalité le twist final du film. Cela est lié à l’une des deux scènes post-générique qui concluent le film, située plus d’un an plus tard, dans la célèbre tour des Avengers. Les Thunderbolts arborent de nouveaux costumes et sont désormais identifiés comme les Nouveaux Avengers. Une demande de la part de leur boss, Valentina Allegra de Fontaine, qui passe très mal auprès de l’équipe originale, et notamment auprès de Sam Wilson, aka l’ex-Faucon et le nouveau Captain America. Pour comprendre la bataille juridique qui les oppose, il faut se souvenir des évènements de Brave New World, dans lequel le président américain Thaddeus Ross demandait justement à Sam de reformer les Avengers. Autant dire que le nouveau Captain America n’a donc clairement pas envie qu’une nouvelle équipe vienne empiéter sur ses plates-bandes (d’où le nouveau devant le nom des Avengers, sur les réseaux sociaux). Face à ce conflit, Red Guardian propose une solution plutôt fun : changer leur nom pour « New Avengerz ». Quoi qu’il en soit, ce nouveau patronyme n’est évidemment pas inconnu au bataillon puisque l’équipe existe déjà dans les comics. Au fil du temps, la composition des New Avengers a évolué à de multiples reprises, recrutant d’abord Wolverine, Spider-Man, Luke Cage ou même Captain America, avant de compter d’autres recrues parmi ses rangs. En attendant de découvrir Avengers : Doomsday en 2026, Marvel fait ainsi patienter ses fans en leur présentant une équipe capable de prendre la relève d’Iron Man, Hulk ou encore Thor, si nécessaire. Cela signifie surtout que le prochain Avengers réunira l’équipe originale, les Thunderbolts* ainsi que les Quatre Fantastiques, dont le logo peut être aperçu à la fin de la scène post-générique. Pendant des mois avant la sortie du film, les fans de Marvel avaient plutôt parié sur une autre révélation : la transformation des Thunderbolts en Dark Avengers, une équipe de super-vilains également présente dans les comics, dans laquelle on retrouve The Sentry. Avec le marketing qui entoure les New Avengers, Marvel dément finalement ces théories, tout en reprenant entièrement le contrôle sur les spoilers. Quoi de mieux pour éviter la propagation d’un twist majeur sur les réseaux sociaux que de le révéler soi-même, au grand dam des fans ? Cette campagne plutôt osée permet ainsi de lier la trame narrative de Thunderbolts*, en suggérant que Valentina Allegra de Fontaine a eu gain de cause dans la bataille judiciaire qui l’opposait à Sam Wilson et qu’elle peut désormais afficher le nom de New Avengers, à un intérêt financier non négligeable pour Marvel. Tout cela donne évidemment envie à tout un nouveau public de venir découvrir le film en salles, pour comprendre pourquoi il a mystérieusement été doté d’un nouveau titre et dans quelle mesure les fameux Avengers sont impliqués, ou non, dans l’intrigue.
L’un des aspects les plus impressionnants dans le monde de la tech, c’est la remontada de Huawei. Huawei, c’était le numéro un chinois du smartphone, et ils n’étaient pas loin de devenir numéro un en France… jusqu’à ce que Donald Trump leur inflige un coup dur : mise sur liste noire, interdiction aux États-Unis, rupture des partenariats avec Qualcomm et Google… Malgré tout, plusieurs années plus tard, Huawei est toujours là, avec un téléphone pliant ultra-fin et un appareil photo surpuissant. Leur prise en main est spectaculaire. Côté écosystème, ils gagnent en indépendance avec leurs propres applications, leur propre OS – certes dérivé d’Android, mais qui leur permet de se détacher progressivement. Ils développent même un écosystème complet d’appareils, incluant des voitures. Et le plus fou ? Aujourd’hui, Huawei fabrique des puces capables de rivaliser avec celles des Américains, alors que personne ne pensait la Chine capable d’y parvenir si vite. L’histoire de Huawei prouve que les États-Unis ont peut-être fait une erreur en tentant d’éliminer cette entreprise. Au lieu de disparaître, Huawei est devenu encore plus puissant. Au MWC de Barcelone, leur stand est le plus grand, ils sont présents dans tous les secteurs : éducation, santé, et bien sûr, smartphones. Leur comeback est indéniable : en Chine, ils sont redevenus numéro un des ventes.
À Barcelone, Orange propose une démonstration d’un assistant vocal destiné à intégrer ses décodeurs télé. Il permet de poser des questions en langage naturel et utilise GPT-4o pour comprendre ce que veut l’utilisateur.