Home > Shailene Woodley returns in Divergent Series sequel ‘Insurgent’

Movies
Shailene Woodley returns in Divergent Series sequel ‘Insurgent’

Description

Science-fiction

Added on the 13/03/2015 14:30:02 - Copyright : Euronews EN

To customise your video :

Or Create an account

More videos on the subject

  • Que cache la boîte de l'iPhone 17 Pro Max ? #shorts

    L’iPhone 17 Pro Max est-il l’élu ? Sur le papier, la proposition est alléchante. Apple semble enfin avoir compris qu’une clientèle « pro » existe et que « pro » ne veut pas seulement dire matériaux haut de gamme et prix élevés. Les iPhone 17 Pro misent sur des choses inattendues pour Apple, à savoir l’efficacité énergétique, le refroidissement de la puce, un nouveau gabarit plus épais pour une plus grosse batterie et des innovations attendues de longue date, en photo et ailleurs. Apple tient-il enfin son tueur de Samsung Galaxy S25 Ultra et de Google Pixel 10 Pro ? Un iPhone sans restriction matérielle ? C’est ce que nous avons voulu savoir dans notre test d’iPhone 17 Pro Max, que nous avons récupéré en avant-première une semaine avant sa sortie. Une fois n’est pas coutume, nous allons commencer notre test d’un nouvel iPhone par la chauffe et les performances. Il faut dire qu’avec l’iPhone 16 Pro et l’iPhone 15 Pro, Apple nous en avait fait voir de toutes les couleurs. Le passage au titane s’est avéré être un mauvais choix pour la gestion de la chauffe, après un appareil parfois trop brûlant pour être utilisé en pleine journée. Une des conséquences de cette chauffe excessive était une baisse de l’autonomie et de la luminosité de l’écran. Avec l’iPhone 17 Pro, Apple change tout : Adieu le titane, place à de l’aluminium qui s’étend désormais sur le dos de l’appareil, pour aider la chaleur à mieux se dissiper. Le téléphone est aussi plus épais, ce qui lui laisse plus de place pour « respirer ». La puce, qui était autrefois à droite du smartphone (quand on regarde le dos), est décalée au milieu, pour éviter que les bordures soient brûlantes. Le système est réparti horizontalement, alors qu’il était vertical dans le passé. Une couche de graphène recouvre le dos, pour absorber la chaleur et l’empêcher d’atteindre l’aluminium et le verre. Une chambre à vapeur liquide fait son apparition. Elle est par-dessus la puce et permet, lorsqu’elle chauffe trop, d’activer un système de refroidissement inédit dans un iPhone (mais relativement commun dans l’univers Android haut de gamme). Selon nos propres mesures avec une caméra thermique, Apple a réussi son coup. Nous avons comparé un iPhone 16 Pro Max et un iPhone 17 Pro Max et nos résultats sont saisissants. L’appareil en aluminium, même en veille, est plus froid que son prédécesseur en titane. Dès que les appareils sont sollicités (benchmarks, jeux vidéo, caméra en enregistrement…), la puce du 16 Pro Max s’emballe et fait chauffer tout le dos, parfois dans des proportions ahurissantes. Celle du 17 Pro Max commence à chauffer, refroidit, puis se stabilise. La chaleur ne s’étend jamais au bas de l’appareil, en tout cas dans cette configuration. Cela permet de le toucher sans problème : le 17 Pro Max est tiède, jamais chaud. Toujours selon nos mesures, l’iPhone Air pourrait connaître une surchauffe similaire à celle de l’iPhone 16 Pro, mais avec une concentration de la chaleur en haut du téléphone. L’immense problème de surchauffe des 15 Pro et 16 Pro semble derrière Apple, pour notre plus grand bonheur. Seul hic : quand l’iPhone 17 Pro charge, son dos devient vite brûlant, au point de faire ralentir le chargeur (le dos est vraiment très chaud, voire paragraphe sur la recharge). Un phénomène aussi observable lorsqu’il fait chaud dehors, qui laisse penser que l’iPhone 17 Pro Max pourrait être sujet à de la surchauffe l’été. Ce qu’Apple a corrigé est la chauffe de la puce, mais pas l’évacuation de la chaleur. Pour ça, il faudrait sûrement un ventilateur, ce qui semble difficilement envisageable sur un iPhone. Esthétiquement, l’iPhone 17 Pro est le plus gros changement chez Apple depuis l’iPhone 12 Pro. Le dos en verre intégral disparaît et est remplacé par un bloc d’aluminium « unibody » façon MacBook. Il n’y a donc plus de démarcation entre les bordures et le dos, l’iPhone est construit dans un moule unique. Au dos, il reste une découpe rectangulaire de verre pour la recharge sans-fil, qui offre à l’iPhone un aspect bicolore inédit depuis le modèle de 2007. Si le design est une notion subjective, nous avons de notre côté beaucoup aimé notre première semaine avec l’iPhone 17 Pro Max. L’aluminium renvoie une sensation de légèreté étrange, alors que l’appareil est plus lourd que son prédécesseur (233 grammes au lieu de 227). Les nouvelles formes plus arrondies de l’iPhone y sont sûrement pour beaucoup : Apple a considérablement amélioré son produit. La seule chose regrettable est que l’aluminium est assurément moins premium que le titane : on a l’impression d’être revenu en arrière. Mais, au vu des gains en performance, difficile de s’en plaindre. Quid des couleurs ? Nous avons reçu le 17 Pro Max en orange et le 17 Pro en bleu. Il est probable que l’orange soit la couleur star de 2025, puisqu’elle ne laisse personne indifférente (80 % des gens adorent, 20 % détestent). Il faut quelques heures pour s’y habituer, mais on tombe vite sous son charme.

    17/09/2025 - Numerama
  • Le costume de Lady Gaga cache un SECRET ! #shorts

    S’il y a bien une artiste qui avait toute sa place dans l’ambiance gothique de Mercredi, c’est évidemment Lady Gaga. Alors, lorsque la célèbre chanteuse a annoncé qu’elle allait rejoindre la série Netflix, les fans trépignaient déjà d’impatience à l’idée de la retrouver sur le petit écran, dix ans après sa première apparition dans American Horror Story. Leurs prières ont été exaucées le 3 septembre 2025, avec la mise en ligne des derniers épisodes de la saison 2 de Mercredi, dans lesquels Lady Gaga tient un rôle central. Et pour sa grande entrée aux côtés de la famille Addams, rien n’a été laissé au hasard, surtout pas son costume, plutôt singulier. Après des mois d’attente, Lady Gaga a donc fini par débar quer sur Netflix dans l’épisode 6 de la saison 2 de Mercredi. Elle y incarne Rosaline Rotwood, une ancienne prof de l’académie Nevermore et accessoirement un… fantôme. C’est elle qui est à l’origine de l’échange de corps entre Enid et Mercredi, dans l’une des meilleures séquences de ces nouveaux épisodes. Pour lui donner vie, la costumière Colleen Atwood s’est inspirée de la nature même du personnage, qui est un Raven, comme elle l’a confié à Variety. Pour l’occasion, elle a utilisé un « tissu français, qui mélangeait la laine et le papier crépon », afin de créer la robe de Lady Gaga. Non seulement la France a un lien avec sa tenue, mais elle cache aussi le détail qui tue : « Il était brodé avec de la soie et des véritables plumes ». Pour Colleen Atwood, il s’agissait d’une évidence : « Elle a vécu dans les années 1930, donc c’était l’influence principale de cette robe. Et on s’est aussi beaucoup inspirés des oiseaux, comme les corbeaux. » À l’origine, l’actrice devait même avoir des épaules plus dessinées, « très pointues, comme si un oiseau commençait à déployer ses ailes, mais à cause de l’action de la scène, nous avons dû revoir nos ambitions à la baisse ». Les longues manches de sa robe rappellent toutefois l’allure de majestueuses ailes. Pour terminer le look, Colleen Atwood a eu l’idée de déposer de la crêpeline, un tissu de soie très léger, sur le visage de Lady Gaga : « C’est un tissu qui peut légèrement s’envoler, pour la rendre encore plus fantomatique. On voit bien le gris à travers elle, et elle a adoré l’idée. »

    08/09/2025 - Numerama
  • Cette scène a demandé 8 MOIS de travail ?! #shorts

    Des tresses parfaitement symétriques, des yeux qui ne clignent jamais, une garde-robe démunie de toute couleur et un sarcasme à toute épreuve : pas de doute, Mercredi Addams est bien de retour. L’héroïne de la série Netflix est ainsi au cœur de nouvelles intrigues macabres dans la saison 2, disponible depuis le 6 août 2025. Des épisodes plus gothiques que jamais, qui ont en partie été dirigés par le maître du genre : Tim Burton, bien sûr. On reconnaît d’ailleurs sa patte graphique dans une séquence bien particulière, tout en stop-motion et en noir et blanc, qui a demandé un travail colossal aux équipes de production. L’épisode 1 de la saison 2 de Mercredi met ainsi en scène l’histoire du tronc en forme de crâne et de son illustre occupant souterrain : un jeune garçon au cœur défaillant qui décide de se sauver en créant lui-même une invention spéciale. Une séquence entièrement tournée en stop-motion, qui fait évidemment référence aux précédentes œuvres de Tim Burton, parmi lesquelles Vincent, Les Noces Funèbres et Frankenweenie. Pour les créateurs de la série, Alfred Gough et Miles Millar, il s’agit aussi d’une « façon très ludique de raconter notre histoire, tout en donnant une touche complètement unique à notre univers », comme ils le racontent dans le making-of partagé par Netflix, le 11 août 2025. Tim Burton, lui, a toujours « adoré cette technique, ce toucher visuel si particulier » et souhaitait « reprendre les codes du conte », comme s’il nous racontait une vieille légende, grâce au côté « mystérieux et inquiétant » du stop-motion. Un pari réussi pour cette scène de seulement 90 secondes, qui fourmille de détails effrayants et qui a demandé 8 mois de travail méticuleux, à la main, pour lui donner vie. « Concrètement, l’animateur prend une photo d’une pose, puis ajuste légèrement la position, reprend une photo, et ainsi de suite. », détaille Chris Tichborne, l’animateur qui a supervisé toute la séquence en stop-motion. « Ensuite, on assemble toutes ces images pour créer le film. » Une quinzaine de marionnettes a ainsi été mobilisée sur le tournage, élaborées avec des costumes spécifiques pour évoluer dans une dizaine de décors différents, majoritairement créés grâce à du matériel de récupération. Tout était prévu pour les entretenir sur place, puisqu’un hôpital dédié aux marionnettes a même été mis en place pour l’occasion. Tim Burton, de son côté, a réalisé de nombreux croquis préparatoires, ainsi que des sculptures de base, dont la tête du jeune garçon au cœur de l’histoire. Cela ressemblait alors à un morceau de bois taillé, dans lequel des brindilles de métal avaient été plantées, une à une. Même l’explosion de la tour de l’horloge était bien réelle, comme l’explique Chris Tichborne : « Tout ce qu’on a filmé existe dans la vraie vie. Toutes les flammes ont été faites en savon glycériné, avec une lumière placée derrière, car c’est ce qui donne le meilleur rendu de flammes. » C’est ce que l’on appelle une masterclass.

    23/08/2025 - Numerama
  • Ne pas avoir honte de montrer son derrière () au cinéma #shorts

    L'acteur Guillaume Labbé , actuellement à l'affiche de la deuxième (et dernière) saison de Escort Boys par Ruben Alves, nous parle intimité

    18/06/2025 - Numerama
  • Andor est une série sur la communauté ? #shorts

    ️ « En regardant les 24 épisodes, il y a un thème commun sur le mal insidieux de détruire des communautés et d'essayer d'avoir un système monochrome. » Tony Gilroy, le créateur d'Andor (la meilleure série Star Wars à notre humble avis), nous parle de la place qu'occupe la notion de communauté au sein de son oeuvre.

    14/05/2025 - Numerama
  • Un produit Apple gratuit ?! #shorts

    À l'occasion des 10 ans de l'Apple Watch, Apple donne des badges collector dans tous ses points de vente.

    25/04/2025 - Numerama

More videosMovies

Watch video of Un Poème Imagé Sur Les Terreurs Nocturnes. - Monsters (Monstres) - Label : Mobile Film Festival 2018 FR -
Movies

Monsters (Monstres)

06/02/2018 17:59:51