Description
Added on the 27/07/2017 15:00:01 - Copyright : Warner Bros Games
18 ans d'Assassin's Creed, 18 ans de saut de la foi. Voici le saut de la foi dans chaque épisode d'Assassin's Creed, du premier à Assassin's Creed Shadows, sorti en 2025.
L’un des aspects les plus impressionnants dans le monde de la tech, c’est la remontada de Huawei. Huawei, c’était le numéro un chinois du smartphone, et ils n’étaient pas loin de devenir numéro un en France… jusqu’à ce que Donald Trump leur inflige un coup dur : mise sur liste noire, interdiction aux États-Unis, rupture des partenariats avec Qualcomm et Google… Malgré tout, plusieurs années plus tard, Huawei est toujours là, avec un téléphone pliant ultra-fin et un appareil photo surpuissant. Leur prise en main est spectaculaire. Côté écosystème, ils gagnent en indépendance avec leurs propres applications, leur propre OS – certes dérivé d’Android, mais qui leur permet de se détacher progressivement. Ils développent même un écosystème complet d’appareils, incluant des voitures. Et le plus fou ? Aujourd’hui, Huawei fabrique des puces capables de rivaliser avec celles des Américains, alors que personne ne pensait la Chine capable d’y parvenir si vite. L’histoire de Huawei prouve que les États-Unis ont peut-être fait une erreur en tentant d’éliminer cette entreprise. Au lieu de disparaître, Huawei est devenu encore plus puissant. Au MWC de Barcelone, leur stand est le plus grand, ils sont présents dans tous les secteurs : éducation, santé, et bien sûr, smartphones. Leur comeback est indéniable : en Chine, ils sont redevenus numéro un des ventes.
Il y a quelques années, Starlink était vu comme un pari insensé d’Elon Musk. Aujourd’hui, c’est un acteur majeur des télécoms. Présent au MWC de Barcelone, la société expose fièrement ses antennes et signe même un contrat avec Air France : d’ici 2025, les passagers bénéficieront du Wi-Fi gratuit en vol. Starlink concurrence désormais Orange et SFR, avec une adoption croissante en France et une présence dans des enseignes comme Fnac. Mais cette montée en puissance pose des questions de souveraineté numérique. Le risque d’un monopole spatial se dessine, alors que Musk capte progressivement les fréquences satellitaires et élimine la concurrence.
C'est une des attractions phares du Mobile World Congress de Barcelone. C'est Xiaomi SU7, ou Xiaomi [sucette], c'est à vous de dire comme vous voulez et c'est une voiture électrique qui fait énormément parler d'elle ces derniers mois. Alors regardez un petit peu là tout le monde autour qui est en train de regarder la voiture. Derrière, là, c'est la SU7 Ultra. C'est la nouvelle version haut de gamme. En fait, la Xiaomi SU7 c'est une voiture moitié Porsche, moitié Tesla ultra connectée. Sauf qu’il y a un pari intéressant chez Xiaomi : d'un côté c'est une voiture connectée, mais de l'autre, il y a plein de boutons, Il y a plein de petits trucs à l'ancienne qui en font une voiture qui peut plaire aux collectionneurs de modèles un petit peu plus anciens. Ce qu’il y a à savoir sur la Xiaomi SU7, c’est qu’elle a été vendue 160 000 fois en un an. C'est immense, même Xiaomi ne s’attendait pas à un aussi gros succès. D'ailleurs, ils sont tellement contents d'eux et ils sont tellement impressionnés par le monde qui vient les voir à chaque fois qu'ils l'exposent à l'étranger, qu’ils comptent lancer international bientôt. Donc peut-être que bientôt vous aurez des voitures Xiaomi, comme les téléphones et les trottinettes, dans la rue en France.
Selon les agences de presse russe, l’autocrate syrien Bachar al-Assad serait arrivé en Russie après la chute de son régime. Plusieurs avions ont été localisés dans le ciel syrien, avec des trajets suspects, qui ont fait émerger de nombreuses théories. Où est Bachar al-Assad ? Selon les premières déclarations du côté russe, le dictateur syrien déchu après la chute de Damas, serait arrivé à Moscou, accompagné de sa famille. La Russie aurait offert l’asile au président déchu pour des « raisons humanitaires », à en croire la presse d’État. Toutefois, aucune image de ses premiers pas à Moscou n’a été diffusée. Une rumeur faisant état d’un crash d’avion a même émergé après un suivi aérien suspect. Tout part d’un avion cargo Ilyushin Il-76T de la Syrian Air, qui prend son envol le 7 décembre, à 03 h 59 heure locale, vers une destination non précisée. D’après les données de Flightradar24, un site spécialisé dans le suivi des avions, l’appareil a initialement pris la direction de la côte méditerranéenne, vers un bastion de la communauté alaouite à laquelle appartient la famille Assad. Deux centres militaires russes majeurs y sont situés : la base aérienne de Hmeimim et la base navale de Tartous. Cependant, après avoir survolé la ville de Homs au milieu du pays, l’avion a fait demi-tour et a commencé à voler de nouveau vers l’est tout en perdant de l’altitude. Le signal a été perdu aux alentours de 04h39, lorsque l’appareil se trouvait à environ 13 km à l’ouest de Homs, à une altitude de seulement 1 625 pieds (495 m). La basse altitude a laissé croire que l’avion pourrait avoir atterri, ou subi un crash. Les circonstances précises de la perte du signal restent floues, mais Flightradar24 a précisé que l’avion était un modèle ancien, équipé d’un transpondeur de génération plus ancienne, ce qui pourrait expliquer des données incorrectes ou manquantes. De plus, l’appareil volait dans une zone soumise à un brouillage GPS, ce qui pourrait également affecter la qualité des informations. Le traqueur n’a pas non plus relevé d’aéroport dans la zone où le signal a été perdu, et aucune information n’a été donnée sur un éventuel crash. Flightradar24 a aussi rapporté qu’un avion militaire russe avait décollé dimanche de l’aéroport international de Lattaquié, à proximité de Hmeimim, avant de se rendre à Moscou. À nouveau, l’identité des passagers à bord reste inconnue. Un autre vol a attiré la curiosité des experts en sources ouvertes. Un jet Embraer Legacy 600, parti d’Abou Dhabi le soir du 7 décembre pour Homs, avant de redécoller plusieurs heures plus tard et revenir à Abou Dhabi, où il s’est posé avant 9h. Rappelons que rien n’indique que ces avions transportaient l’autocrate syrien. Si ce dernier est à Moscou, il sera probablement préservé et caché par le régime russe.
Le nouveau casque de réalité mixte de Meta impressionne par son rapport qualité-prix. À 330 euros, le Meta Quest 3S a tout pour rencontrer le succès chez les personnes qui souhaitent découvrir la VR et les contenus spatiaux pour la première fois. Face à Apple et son Vision Pro à 4 000 euros, Meta a décidé de jouer la carte du prix. La maison mère de Facebook, convaincue que la réalité virtuelle va devenir un produit grand public depuis plusieurs années, lance le 15 octobre le Quest 3S, le casque de réalité mixte le plus abordable du marché. Pour 329,99 euros (128 Go) ou 439,99 euros (256 Go), Meta propose une expérience complète, digne de son casque haut de gamme vendu 550 euros, pour les personnes qui souhaitent expérimenter la VR sans investir une fortune. Une sorte de premier essai de l’informatique spatiale, pour pouvoir regarder un film ou ses photos/vidéos 3D de temps en temps, ou pourquoi pas jouer à un jeu. À Londres le 10 octobre, Meta a proposé à Numerama d’essayer son casque en avant-première, à quelques jours de sa sortie. Voici notre avis sur le Meta Quest 3S, à qui l’on prédit déjà un beau succès à Noël.