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Added on the 27/04/2023 23:00:14 - Copyright : CinemaBlend
Dans le film Oppenheimer, le biopic de Robert Oppenheimer réalisé par Christoper Nolan, dont la sortie est prévue pour le 19 juillet 2023 en France (soit le même jour que le film Barbie), il y a des scenes avec des explosions de bombes nucléaires. Christopher Nolan a voulu filmer ces explosions nucléaires sans avoir recours à de l'image de synthèse (CGI), mais il a tout de même eu recours à des effets spéciaux ! L’explosion nucléaire dans Oppenheimer est réalisée sans images de synthèses. MAIS, ce n'est pas non plus une vrai explosion nucléaire. Le réalisateur de The Dark Knight et Interstellar est connu pour ses scènes spectaculaires qu’il réalise en utilisant le moins d’effet numériques possibles. On se souvient de son fameux couloir tournant dans Inception ou de la fois où il a fait s’écraser un vrai avion de ligne pour le tournage de TENET. Dans son prochain film, Oppenheimer, Nolan racontera l’histoire du père de la bombe atomique, et le film comportera donc, en toute logique, des essais nucléaires. Mais hors de question pour Christopher d’utiliser des effets numériques, selon lui, le public sait reconnaître une image de synthèse à travers la pellicule, pour faire ressentir le danger à son audience, il n’a qu’une seule solution, filmer quelque chose de réellement dangereux ! Les rumeurs vont donc bon train, et on commence à entendre dire que le réalisateur aurait fait exploser une vrai bombe nucléaire, mais la réalité est bien sûr toute autre. Cette explosion était bien sûr maîtrisée par des artificiers, et pour des raisons évidentes c’est un mélange de dynamites et de divers carburants qui sera finalement utilisé pour donner le résultat le plus réaliste possible. #christophernolan #oppenheimer #makingof oppenheimer film robert oppenheimer
Vous avez aimé Barbie, le film féministe de Greta Gerwig ? Vous avez aimé Oppenheimer, le biopic du père de la bombe atomique de Christopher Nolan ? Vous détesterez certainement Barbenheimer. Car, oui : il va bien y avoir un vrai film Barbenheimer, inspiré du phénomène du même nom. Barbenheimer est le surnom donné aux sorties simultanées des deux films, Barbie et Oppenheimer, à l’été 2023, et à toutes les blagues qui les ont accompagnés. Le phénomène a été massivement relayé en ligne à l’aide de photo-montages des deux films et de fausses bandes-annonces mêlant les deux univers. Mais la tendance Barbenheimer a, semble-t-il, inspiré davantage que des mèmes. C’est le site spécialisé JoBlo qui a annoncé la nouvelle le 31 août 2023 : un film Barbenheimer va être réalisé par le studio Full Moon Features. Ne vous attendez cependant pas à une future Palme d’or, à du grand spectacle comme pour Opppenheimer, ou à une critique du patriarcat. Le studio en question est spécialisé dans les films d’horreur à petit budget, et dans les films parodiques légèrement gores.
Retrouvez la réaction de l'attaquant du GF38 Alan Kérouédan après la défaite de Grenoble face au Servette FC (0-1) pour son premier match de préparation.
Retrouvez la réaction de l'entraîneur du GF38 Franck Rizzetto après la courte défaite de son équipe face au Servette FC ce samedi 12 juillet 2025 pour le premier match de préparation de Grenoble.
Cela fait maintenant un peu plus d’une semaine que la Nintendo Switch 2 est disponible — avec déjà un record pour le lancement. Ce qui veut dire que cela fait aussi un peu plus d’une semaine que les fans de la marque enchaînent les courses dans Mario Kart World, afin de débloquer des récompenses (des personnages, par exemple). Et, très, vite, certains ont mis en avant l’existence d’un mode miroir. Il y a toutefois une confusion sur la marche à suivre pour accéder au mode miroir de Mario Kart World. Sur internet, on peut lire tout et son contraire sur les conditions requises pour débloquer les courses inversées. Certains pensent qu’il suffit de terminer les grands prix en difficulté 150cc (en obtenant trois étoiles !), d’autres qu’il faut ramasser des objets spécifiques ou encore terminer plusieurs missions en balade. Nintendo a fini par dévoiler la méthode infaillible. Dans un mail envoyé à des joueuses et des joueurs, notamment partagé par NintendHome le 12 juin 2025 sur X, Nintendo explique ce qu’il faut faire pour débloquer le mode miroir — bien présent, contrairement au mode 200cc. Dès lors, il faut : - Trouver 10 panneaux marqués d’un point d’interrogation ; - Trouver 10 médailles Peach ; - Réussir 10 missions interrupteurs P ; - Arriver au bout de chaque coupe 150cc et Rallye (sans besoin de terminer premier). On remarquera que Mario Kart World oblige autant à rouler dans les courses classiques (les grands prix) que dans le monde ouvert (balade), sans oublier le mode survie. Ce qui permet de mettre en avant toutes les forces de cet épisode exclusif à la Nintendo Switch 2. Très apprécié des férus de la saga Mario Kart, le mode miroir inverse les tracés sur un plan horizontal : ce qui veut dire que ce qui se trouve habituellement à gauche est désormais à droite (et inversement), les virages en tête. Cela permet de doubler artificiellement le nombre de circuits et de forcer les joueuses et les joueurs à apprendre de nouveaux réflexes. Une spécificité qui peut s’avérer complexe quand on sait que la mémoire musculaire peut nous jouer des tours, surtout dans l’urgence d’une course à remporter.
La représentation par IA d’un homme tué par balles a été autorisée à s’exprimer à l’audience de son tueur. Une première aux États-Unis. C’est une première aux États-Unis qui risque de faire des émules. Christopher Pelkey a été tué par Gabriel Paul Horcasitas en 2021 après une altercation sur la route, crime qui porte outre-Atlantique le nom de « road rage ». Et pourtant, Pelkey est apparu le jour de l’audience de son assassin pour lui adresser un message en vidéo, comme le rapporte la presse locale. La génération par IA basée sur les traits et la voix de l’homme décédé a été autorisée à s’exprimer dans un tribunal. « À Gabriel Horcasitas, l’homme qui m’a tiré dessus – c’est dommage que nous nous soyons rencontrés ce jour-là dans ces circonstances. Dans une autre vie, nous aurions probablement pu être amis », lance l’avatar de Pelkey à son tueur en pleine audience, avant d’embrayer sur le fait qu’il croit profondément au pardon. Une intervention qui a touché le juge Todd Lang, qui a déclamé après avoir vu la vidéo : « J’adore cette IA. Merci. J’ai trouvé que c’était authentique, que le pardon accordé à monsieur Horcasitas reflète parfaitement le personnage de Pelkey dont j’ai entendu parler aujourd’hui ». Derrière ce projet, on trouve la sœur de Pelkey, qui souhaitait apporter une autre dimension au procès du meurtrier de son frère, afin d’apporter une pierre au processus de guérison. « En avoir fait une œuvre de guérison pour quiconque l’a vue n’était qu’un résultat bénéfique », a-t-elle déclaré, estimant que l’intervention de son défunt frère et les mots choisis pour le faire parler, ont participé à apaiser la famille endeuillée. Techniquement, la génération vidéo et voix est très accessible en 2025, avec des services proposant la création d’avatars numériques à partir d’images et d’extraits vocaux. Reste que faire intervenir un mort à un procès n’est pas anodin. Ann A. Scott Timmer, responsable de la Cour Suprême de l’Arizona, a estimé que l’IA avait un grand potentiel pour aider celles et ceux qui n’ont pas de connaissance dans le système juridique américain, notamment à mieux se défendre. Mais, a-t-elle ajouté, « l’IA peut aussi entraver, voire bouleverser la justice si elle est utilisée de façon inappropriée. Une approche mesurée est préférable. Dans cette optique, le tribunal a formé un comité sur l’IA pour examiner l’utilisation de l’IA et formuler des recommandations sur la meilleure façon de l’utiliser. Au fond, ceux qui utilisent l’IA — y compris les tribunaux — sont responsables de son exactitude ». On imagine bien les dangers auxquels Timmer fait référence : une telle intervention d’un défunt, bien menée, pourrait tout à la fois toucher plus profondément le juge et les jurés. Mais elle pourrait aussi altérer la réalité de ce qui s’est vraiment passé : en plus des preuves et des témoignages, on a eu dans ce tribunal de l’Arizona, une génération d’image déclamant un texte que la victime n’a jamais écrit — un deepfake, en somme. Sa sœur, avec toute sa bonne volonté, n’a fait que lui prêter des propos qui n’auraient, peut-être, pas été ceux de Pelkey. Une nuance qui permet de comprendre pourquoi la Cour Suprême de l’Arizona est sur ses gardes.