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Diablo IV est enfin là ! Ou presque. En attendant la sortie officielle du jeu le 6 juin 2023, Blizzard a organisé deux week-ends pour tester la bêta. Et bien sûr, Numerama était là pour occire du démon. Et on ne va pas se mentir, ça n'a pas été sans mal. Le bonheur de jouer sur une bêta, quoi. Les articles par ici ► https://www.numerama.com/jeux-video/diablo-iv/ Diablo IV : les 7 enseignements de la bêta ouverte ► https://www.numerama.com/pop-culture/1318672-diablo-iv-les-7-enseignements-de-la-beta-ouverte.html --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama?lang=fr Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama --- #diabloIV
Le Mamenchisaurus Sinocanadorum a le plus long cou de tous les dinosaures ! Plus long que le Brachiosaure, que le Diplodocus, et que tous les autres Sauropodes !
C’est une brusque montée des tensions, qui pourrait aggraver un peu plus les relations déjà dégradées entre la Russie et les pays membres de l’OTAN. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, un incident aérien important s’est produit aux marches orientales de la Pologne : plusieurs drones russes ont franchi la frontière, violant son espace aérien. C’est le commandement opérationnel des forces armées polonaises qui a tiré l’alarme en premier sur les réseaux sociaux. Peu après minuit, il a été annoncé dans un premier temps le déploiement d’avions polonais et alliés pour sécuriser le ciel et la mise en alerte des systèmes terrestres de défense aérienne et de suivi radar. Une attaque massive contre l’Ukraine En effet, Moscou lançait cette nuit une énième attaque nocturne contre Kiev. Selon le décompte de l’armée de l’air ukrainienne, il a été détecté 458 drones de combat (dont plus de 215 de type Shahed, un aéronef sans pilote fourni par l’Iran), 42 missiles dont des Kalibr ainsi qu’un missile balistique Iskander, pouvant accueillir potentiellement une charge nucléaire. Côté ukrainien, la défense aérienne a été une nouvelle fois engagée et, selon le bilan donné sur Telegram, au moins 413 cibles ont été détruites (386 drones, 27 missiles) sur les 458 projectiles détectés. Mais 16 missiles et 21 drones sont passés et ont frappé l’Ukraine en dix-sept endroits. Et les 8 autres ? Ils sont passés en Pologne. Ainsi, selon l’armée de l’air ukrainienne, « au moins huit drones ennemis ont franchi la frontière ukrainienne en direction de la Pologne ». Une traversée de la frontière confirmée dans la nuit par les autorités militaires et politiques polonaises, à travers les prises de parole du commandement opérationnel des forces armées et du Premier ministre Donald Tusk. « L’espace aérien polonais a été violé de manière sans précédent par des drones. Il s’agit d’un acte d’agression qui représente une menace réelle pour la sécurité de nos citoyens », a écrit le commandement. « Sur ordre du commandant opérationnel des forces armées, des procédures défensives ont été immédiatement lancées. » Cette violation de l’espace aérien polonais par de multiples drones russes n’est cependant pas restée sans réponse. L’ordre a été donné pour abattre les huit drones. « Une opération liée à de multiples violations de l’espace aérien polonais est en cours. L’armée a utilisé des armes contre les cibles », a annoncé Donald Tusk. Une opération qui, selon l’armée polonaise, ont aussi mobilisé au moins un pays allié, les Pays-Bas, avec l’engagement d’avions F-35. En effet, dans le cadre du renforcement du flanc est de l’OTAN, organisation dont ces deux pays sont membres, des renforts militaires ont été déployés en Pologne, en Roumanie et dans les pays baltes. Concernant les Pays-Bas, 300 soldats ont été envoyés cet été en Pologne, deux batteries de défense aérienne Patriot et des avions de chasse F-35. On trouve aussi également un gros contingent américain (10 000 hommes) et des forces norvégiennes, avec là aussi des chasseurs F-35. D’autres pays y participent aussi, occasionnellement, comme la France. L’implication de F-35 dans la défense aérienne polonaise a été repérée sur le site de suivi aérien FlightRadar24, a relevé le site OSINTtechnical. Il a été aussi aperçu au moins un avion ravitailleur A330 MRTT, qui a tourné dans le ciel afin de permettre, si besoin, aux autres aéronefs de refaire le plein de carburant et de rester en l’air. Les officiels de l’OTAN ont confirmé la participation des moyens de défense aérienne de l’organisation. Le gouvernement néerlandais a aussi confirmé la mobilisation de F-35 pour soutenir la Pologne, tout en dénonçant la Russie. C’est une preuve supplémentaire que la Russie « constitue une menace pour la sécurité européenne », a réagi le Premier ministre Schoof. En raison de la présence de la Pologne au sein de l’OTAN, un « contact permanent » a été établi avec le secrétaire général de l’organisation militaire, le Néerlandais Mark Rutte. Mais, dans le message du Premier ministre Donald Tusk, il n’a pas été question d’une activation de l’article 5 du traité, qui prévoit un soutien de tous les membres. En revanche, l’article 4 a été officiellement invoqué. Celui-ci expose que « les parties se consulteront chaque fois que, de l’avis de l’une d’elles, l’intégrité territoriale, l’indépendance politique ou la sécurité de l’une des parties sera menacée ». Cela pourrait déboucher sur des décisions, dont un appui supplémentaire sur place. L’incident survenu cette nuit apparaît comme un argument supplémentaire en faveur de Skyshield. L’idée ? Étendre la couverture aérienne de l’OTAN à une large partie de l’Ukraine, au moins tout l’ouest, jusqu’à Kiev, et peut-être le long du Dniepr, et le sud. Ainsi, les projectiles menaçants pourraient être interceptés bien plus tôt.
Cela fait maintenant un peu plus d’une semaine que la Nintendo Switch 2 est disponible — avec déjà un record pour le lancement. Ce qui veut dire que cela fait aussi un peu plus d’une semaine que les fans de la marque enchaînent les courses dans Mario Kart World, afin de débloquer des récompenses (des personnages, par exemple). Et, très, vite, certains ont mis en avant l’existence d’un mode miroir. Il y a toutefois une confusion sur la marche à suivre pour accéder au mode miroir de Mario Kart World. Sur internet, on peut lire tout et son contraire sur les conditions requises pour débloquer les courses inversées. Certains pensent qu’il suffit de terminer les grands prix en difficulté 150cc (en obtenant trois étoiles !), d’autres qu’il faut ramasser des objets spécifiques ou encore terminer plusieurs missions en balade. Nintendo a fini par dévoiler la méthode infaillible. Dans un mail envoyé à des joueuses et des joueurs, notamment partagé par NintendHome le 12 juin 2025 sur X, Nintendo explique ce qu’il faut faire pour débloquer le mode miroir — bien présent, contrairement au mode 200cc. Dès lors, il faut : - Trouver 10 panneaux marqués d’un point d’interrogation ; - Trouver 10 médailles Peach ; - Réussir 10 missions interrupteurs P ; - Arriver au bout de chaque coupe 150cc et Rallye (sans besoin de terminer premier). On remarquera que Mario Kart World oblige autant à rouler dans les courses classiques (les grands prix) que dans le monde ouvert (balade), sans oublier le mode survie. Ce qui permet de mettre en avant toutes les forces de cet épisode exclusif à la Nintendo Switch 2. Très apprécié des férus de la saga Mario Kart, le mode miroir inverse les tracés sur un plan horizontal : ce qui veut dire que ce qui se trouve habituellement à gauche est désormais à droite (et inversement), les virages en tête. Cela permet de doubler artificiellement le nombre de circuits et de forcer les joueuses et les joueurs à apprendre de nouveaux réflexes. Une spécificité qui peut s’avérer complexe quand on sait que la mémoire musculaire peut nous jouer des tours, surtout dans l’urgence d’une course à remporter.
On le sait, les bombardements entre Israël et l’Iran ont commencé le 13 juin dernier. Mais ce qu’on sait moins, c’est ce que la cyberguerre entre ces deux États dure depuis des décennies. Amine, journaliste cyberguerre chez Numerama explique le fonctionnement de la cyberguerre en temps de conflit au micro du talk-show politique Backseat.