Description
Added on the 28/04/2022 01:06:29 - Copyright : CinemaBlend
Squid Game est loin d’être une comédie. Pourtant, depuis ses débuts, en 2021, un élément en particulier amuse les fans : le jeu très étrange des VIPs, devenu une blague virale sur les réseaux sociaux. Ces personnages, totalement malsains, ont même été comparés à Elon Musk par le créateur de la série, Hwang Dong-hyuk. Alors que la saison 3 cartonne actuellement sur Netflix depuis sa sortie, le 27 juin 2025, le débat autour des dialogues de ces antagonistes maléfiques a ressurgi. L’occasion pour Bryan Bucco, l’un des comédiens derrière ces masques, d’intervenir pour rétablir la vérité et nous offrir, enfin, des réponses sur le sujet. Le 30 juin 2025, Bryan Bucco, qui se trouve derrière le masque en forme d’aigle, a ainsi réagi à une vidéo parodique — elle critiquait justement le jeu désastreux des VIPs dans le drama coréen. Il a alors révélé qu’en version originale, les acteurs anglophones étaient en réalité redoublés… en anglais. Ce n’est donc pas sa voix que l’on entend dans les séquences mettant en scène ces voyeurs capitalistes, comme il l’a expliqué dans les commentaires. Pour autant, il estime que la version coréenne ne devrait pas avoir de doublage supplémentaire : « S’il y en a un, c’est probablement à cause de certaines lignes de dialogues spécifiques qui ont été réenregistrées pour davantage de clarté. » Le problème, c’est que les doublages manquent clairement de finesse et sont plutôt ridicules, comme si les acteurs n’arrivaient pas à bien jouer. Les dialogues, eux, ne sont pas non plus extrêmement convaincants. Pour Bryan Bucco, certaines voix semblent « davantage modifiées que d’autres », mais globalement, « on dirait qu’ils ont utilisé la voix de comédiens de doublage pour tenter de nous ressembler. Je ne veux même pas dénigrer mon doubleur parce que je pense qu’il a fait ce qu’il a pu. Je suis sûr que ce n’était pas non plus facile pour lui de réciter ces dialogues. » L’acteur a ainsi admis qu’avec les autres interprètes des VIPs, ils s’étaient longuement interrogés sur le script : « Chaque nuit, nous étions assis ensemble à lire les dialogues, en nous demandant s’ils devaient vraiment être dits. » Il reconnaît aussi que l’arc narratif autour des VIPs aurait pu être encore plus approfondi ou mieux écrit, regrettant que ces personnages soient globalement « inutiles ». Malgré tout, il reste plutôt satisfait d’avoir pu participer à Squid Game, à son échelle. Il décrit ainsi une « belle expérience » : « Tout le monde était très sympa, du casting à l’équipe de tournage. Nos scènes étaient toujours les dernières à être exécutées. Cela signifie qu’aucun autre acteur principal n’était là, à l’exception du Front Man. Nous avons tourné pendant seulement 3 jours, mais c’était une pause sympathique au milieu des études et du travail. »
L'Europe est le centre mondial de la technologie : tous les géants de la tech (Google, Amazon, Apple, Nvidia...) dépendent de deux entreprises européennes sans lesquelles l'économie serait à genoux. Les puces électroniques, plus précisément les semi-conducteurs, sont présentes dans tous nos objet connectés du quotidien. Sans elle rien ne fonctionnerait. Si 60% de ces puces sont produites à Taïwan par l'entreprise TSMC ainsi que 90% de leurs versions haut de gammes, leur fabrication dépend entièrement d'ASML : la seule société au monde qui conçoit les machines nécessaires à la confection de ces puces haut-de-gamme. ASML, originaire des Pays-Bas, détient le monopole sur une technique appelée : lithographie à extrême ultraviolet. Ces machines génèrent du plasma émettant de la lumière ultraviolette. Cette lumière traverse un masque, est réfléchie par des miroirs ultra-plats, puis grave des puces microscopiques sur du silicium. Plus la gravure est fine, plus la puce est puissante. Une seule de ces machines coûte plus de 300 millions de dollars, et leur demande explose à cause du développement de l'intelligence artificielle qui nécessite des puces très puissantes. Mais cette entreprise dépend elle-même d'une autre entreprise, allemande cette fois : Zeiss. Zeiss fabrique les miroirs réfléchissants ultra précis que l'on trouve à l'intérieur des machines d'ASML. Ces miroirs font partie des surfaces les plus plates jamais créées par l'humain. Sans ASML et Zeiss (et sans l'Europe, donc) la production mondiale de puces s'arrête, mettant des industries entières au pied du mur.
Dès le premier épisode de sa saison 7, Black Mirror a frappé très fort avec une histoire coup de poing, autour d’un couple confronté à la maladie. Mike décide alors de sauver la vie d’Amanda en acceptant un programme révolutionnaire : Rivermind, capable de remplacer des tumeurs au cerveau par du tissu synthétique, pour permettre aux patients de retrouver une existence normale. Une technologie bénéfique au premier abord, qui prend un tournant glaçant lorsqu’un système d’abonnement demande de plus en plus d’énergie et d’argent à Mike et Amanda… Pourtant, un tel dispositif est loin de la réalité pour Valentin Wyart : « On n’a pas du tout les technologies nécessaires aujourd’hui pour prendre l’empreinte d’une région du cerveau. Cela représente énormément de neurones et de connexions synaptiques. » Si des implants cérébraux existent déjà, ils restent beaucoup plus simples que les dispositifs évoqués dans l’épisode 1, et notamment les publicités déclamées par Amanda : « Des entreprises comme Neuralink, dirigée par Elon Musk, font des recherches au niveau du cortex moteur. Si on le stimule, on peut théoriquement produire des mouvements chez vous, chez moi ou chez un animal qu’on aurait implanté. Mais cela donnerait l’impression d’être contrôlé par une entité extérieure. Et on pourrait peut-être faire bouger une souris dans une direction particulière, mais c’est bien le maximum qu’on pourrait faire. Il faut bien comprendre qu’une technologie qui fonctionne déjà à un niveau très simple ne pourrait pas nécessairement être améliorée dans le futur. » Valentin Wyart est donc clair sur les dispositifs mis en place dans Des gens ordinaires : « Cette technologie, je pense, n’existera jamais. Et heureusement ». Vous pouvez dormir tranquilles.
Est-ce que Black Mirror pourrait exister dans la vraie vie ? La série est-elle réaliste ? Voilà les questions que l'on se pose généralement après avoir vu l'un des épisodes angoissants de la série Netflix. Pour savoir si les technologies montrées à l'écran sont vraiment réalistes, nous avons demandé à Valentin Wyart, directeur de recherches à l'Inserm et spécialiste des neurosciences cognitives pour l'ENS, de nous éclairer sur la question. Et spoiler : la saison 7 de la série de SF n'est pas prête de ressembler à notre quotidien. Sommaire 00:00 - Un spécialiste de neurosciences décrypte la saison 7 de Black Mirror 00:20 - Est-ce qu'on peut guérir un cerveau avec un tissu récepteur synthétique ? (Des gens ordinaires) 02:40 - Peut-on programmer un cerveau ? (Des gens ordinaires) 06:08 - Est-ce que notre cerveau peut nourrir un serveur ? (Des gens ordinaires) 07:47 - Est-ce qu’une telle technologie pourrait vraiment “aiguiser nos sens” ? (Des gens ordinaires) 10:49 - Test de Turing, peut-on vraiment parler de formes de vies numériques avec un cerveau ? (De simples jouets) 13:14 - Pourquoi sommes-nous addicts à certains jeux vidéo ? (De simples jouets) 14:37 - Est-ce que les substances peuvent nous aider à mieux comprendre une langue ? (De simples jouets) 15:48 - Peut-on s'implanter une puce dans le cerveau pour se connecter à un jeu ? (De simples jouets) 17:32 - Peut-on faire une mise à jour de la race humaine ? (De simples jouets) 19:29 - Que se passe-t-il dans notre cerveau lorsque l’on se souvient de quelque chose en particulier ? (Eurologie) 23:07 - Pourra-t-on un jour entrer littéralement dans une photo ? 28:20 - Est-ce que la série Black Mirror est réaliste ? L'article par ici ► https://numerama.com --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
18 ans d'Assassin's Creed, 18 ans de saut de la foi. Voici le saut de la foi dans chaque épisode d'Assassin's Creed, du premier à Assassin's Creed Shadows, sorti en 2025.
Ok, là je suis trop fan de l'idée. Je vais essayer de jouer à la pétanque avec des lunettes. En fait, je mets les lunettes sur mes yeux et est ce que ça marche ? Wow, ça marche ! En fait, j'ai un écran là devant moi, projeté, donc du coup je pourrais être jsais pas aux toilettes, dans ma chambre ou peu importe, et jouer à ma P5 à distance, sans être devant, sans être devant la télé. Et ça marche bien. Je trouve qu'il n'y a pas trop de latence, l'écran n'est pas immense et le gros défaut, c'est que quand je bouge comme ça à l'écran, il suit, donc ça peut vite donner envie de vomir pour mieux se stabiliser. Mais j'avoue, je trouve ça canon. Peut être que c'est le futur. Il y a des lois ici, ils sont en train de le faire avec une Nintendo Switch, donc peut être que bientôt dans le train, dans l'avion, tout le monde sera en train de jouer à la console avec des lunettes de vue normales puisque ça se voit quasiment pas, qu'elles sont différentes.