Descripción
Añadido el 31/03/2022 17:52:47 - Copyright : AFP EN
Une toile d'araignées de 106 m2 et peuplée de plus de 111 000 arachnides a été découverte dans une grotte à la frontière entre la Grèce et l'Albanie ! ️
Daniel, un YouTuber anglais derrière la chaîne ZONEofTECH, a connu une mésaventure avec sa Galaxy Ring. Alors qu’il s’arrêtait à monter dans un avion, il s’est rendu compte que la bague de Samsung avait gonflé et bloquait sa circulation sanguine. Un événement qui rappelle beaucoup l’épisode Galaxy Note 7, plus gros fiasco industriel de l’histoire de Samsung. Les bagues connectées sont-elles dangereuses pour leurs utilisateurs ? On vous décode la situation. Sommaire 00:00 - La Galaxy Ring lui a presque coûté un doigt 01:33 - Que s'est-il passé avec la Galaxy Ring ? 02:52 - Le désastre du Galaxy Note 7 04:48 - La suite pour les montres connectées L'article par ici ► https://www.numerama.com/tech/2084861-une-bague-connectee-samsung-enfle-et-frole-lexplosion-sur-un-doigt-que-sest-il-passe.html --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
C’est une preuve supplémentaire de la capacité ukrainienne à porter des coups notables à la Russie en mer Noire, malgré sa supériorité maritime. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, les forces spéciales du service de renseignement militaire de l’Ukraine (GUR) sont parvenues à frapper un navire russe avec un drone aérien. Point notable de l’attaque : elle s’est déroulée à proximité du territoire russe, dans la baie face au port de Novorossiisk, où Moscou a replié une partie de sa flotte, afin de l’éloigner des côtes ukrainiennes, et donc des frappes de missiles ou de drones. C’est cependant une installation toujours à portée de Kiev : des attaques y ont été menées par le passé. Selon le compte-rendu de Kiev, ce bateau « effectuait des reconnaissances radioélectriques et patrouillait » aux abords de Novorossiisk. Le navire est de la classe Spassatel Karev (MPSV07), dont la mise en service remonte à 2015 — c’est aujourd’hui le dernier-né de sa classe. Trois autres navires de cette catégorie existent, lancés en 2012 et 2013. Le Spassatel Demidov — c’est son nom — est « équipé de machines permettant d’explorer les fonds marins et les objets endommagés gisant à des profondeurs pouvant atteindre 1 000 mètres » et « peut effectuer des opérations de plongée sous-marine jusqu’à une profondeur de 300 mètres », selon Ship Technology. C’est un navire polyvalent, relève l’armée ukrainienne, ce que confirme Ship Technology : armé par une vingtaine de marins, il sert au dépannage et au sauvetage, et dispose de capacités de brise-glace. Il n’est en revanche pas destiné au combat directement — on ne trouve ainsi aucune arme spécifique sur le bateau. Il contribue toutefois à la logistique russe. L’attaque a donné lieu à une vidéo dans laquelle on voit le drone foncer vers le navire, avec une caméra en vue subjective en vision nocturne. Il heurte le haut du Spassatel Demidov, un peu au-dessus de la passerelle. La vidéo se coupe à l’impact, ce qui n’empêche pas de constater les dégâts. Kiev reconnaît que ce vaisseau de classe MPSV07 n’a pas coulé — il aurait plutôt fallu viser la coque à hauteur de la surface de la mer, ou en-dessous, pour provoquer une voie d’eau. Cependant, Kiev estime que cela imposera à la Russie des « réparations coûteuses ». Par ailleurs, cela sort du jeu ce bateau, car « hors service ». La frappe a heurté une zone où l’on trouve des équipements de navigation, de renseignement électromagnétique et de communication. Cela illustre de nouveau les effets que peuvent produire des équipements offensifs à bas coût comme un drone face à des cibles de valeur : le navire ciblé a un coût estimé à 60 millions de dollars. Si l’Ukraine met régulièrement en scène ses succès en matière de bataille navale en mer Noire — comme, fin août, son opération réussie contre une corvette de classe Bouïan (Projet 21631), également endommagé après une frappe de drone aérien, en mer d’Azov –, elle enregistre aussi parfois des revers en mer. Ainsi, toujours à la fin du mois d’août, il a été noté qu’un drone de surface russe est parvenu à couler le navire collecteur de renseignement ukrainien Simferopol, alors qu’il se trouvait à l’embouchure du Danube, pas loin de la Roumanie. Signe que, malgré les réussites ukrainiennes, Kiev demeure aussi exposée en mer Noire, y compris près de son territoire.
C’est une brusque montée des tensions, qui pourrait aggraver un peu plus les relations déjà dégradées entre la Russie et les pays membres de l’OTAN. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, un incident aérien important s’est produit aux marches orientales de la Pologne : plusieurs drones russes ont franchi la frontière, violant son espace aérien. C’est le commandement opérationnel des forces armées polonaises qui a tiré l’alarme en premier sur les réseaux sociaux. Peu après minuit, il a été annoncé dans un premier temps le déploiement d’avions polonais et alliés pour sécuriser le ciel et la mise en alerte des systèmes terrestres de défense aérienne et de suivi radar. Une attaque massive contre l’Ukraine En effet, Moscou lançait cette nuit une énième attaque nocturne contre Kiev. Selon le décompte de l’armée de l’air ukrainienne, il a été détecté 458 drones de combat (dont plus de 215 de type Shahed, un aéronef sans pilote fourni par l’Iran), 42 missiles dont des Kalibr ainsi qu’un missile balistique Iskander, pouvant accueillir potentiellement une charge nucléaire. Côté ukrainien, la défense aérienne a été une nouvelle fois engagée et, selon le bilan donné sur Telegram, au moins 413 cibles ont été détruites (386 drones, 27 missiles) sur les 458 projectiles détectés. Mais 16 missiles et 21 drones sont passés et ont frappé l’Ukraine en dix-sept endroits. Et les 8 autres ? Ils sont passés en Pologne. Ainsi, selon l’armée de l’air ukrainienne, « au moins huit drones ennemis ont franchi la frontière ukrainienne en direction de la Pologne ». Une traversée de la frontière confirmée dans la nuit par les autorités militaires et politiques polonaises, à travers les prises de parole du commandement opérationnel des forces armées et du Premier ministre Donald Tusk. « L’espace aérien polonais a été violé de manière sans précédent par des drones. Il s’agit d’un acte d’agression qui représente une menace réelle pour la sécurité de nos citoyens », a écrit le commandement. « Sur ordre du commandant opérationnel des forces armées, des procédures défensives ont été immédiatement lancées. » Cette violation de l’espace aérien polonais par de multiples drones russes n’est cependant pas restée sans réponse. L’ordre a été donné pour abattre les huit drones. « Une opération liée à de multiples violations de l’espace aérien polonais est en cours. L’armée a utilisé des armes contre les cibles », a annoncé Donald Tusk. Une opération qui, selon l’armée polonaise, ont aussi mobilisé au moins un pays allié, les Pays-Bas, avec l’engagement d’avions F-35. En effet, dans le cadre du renforcement du flanc est de l’OTAN, organisation dont ces deux pays sont membres, des renforts militaires ont été déployés en Pologne, en Roumanie et dans les pays baltes. Concernant les Pays-Bas, 300 soldats ont été envoyés cet été en Pologne, deux batteries de défense aérienne Patriot et des avions de chasse F-35. On trouve aussi également un gros contingent américain (10 000 hommes) et des forces norvégiennes, avec là aussi des chasseurs F-35. D’autres pays y participent aussi, occasionnellement, comme la France. L’implication de F-35 dans la défense aérienne polonaise a été repérée sur le site de suivi aérien FlightRadar24, a relevé le site OSINTtechnical. Il a été aussi aperçu au moins un avion ravitailleur A330 MRTT, qui a tourné dans le ciel afin de permettre, si besoin, aux autres aéronefs de refaire le plein de carburant et de rester en l’air. Les officiels de l’OTAN ont confirmé la participation des moyens de défense aérienne de l’organisation. Le gouvernement néerlandais a aussi confirmé la mobilisation de F-35 pour soutenir la Pologne, tout en dénonçant la Russie. C’est une preuve supplémentaire que la Russie « constitue une menace pour la sécurité européenne », a réagi le Premier ministre Schoof. En raison de la présence de la Pologne au sein de l’OTAN, un « contact permanent » a été établi avec le secrétaire général de l’organisation militaire, le Néerlandais Mark Rutte. Mais, dans le message du Premier ministre Donald Tusk, il n’a pas été question d’une activation de l’article 5 du traité, qui prévoit un soutien de tous les membres. En revanche, l’article 4 a été officiellement invoqué. Celui-ci expose que « les parties se consulteront chaque fois que, de l’avis de l’une d’elles, l’intégrité territoriale, l’indépendance politique ou la sécurité de l’une des parties sera menacée ». Cela pourrait déboucher sur des décisions, dont un appui supplémentaire sur place. L’incident survenu cette nuit apparaît comme un argument supplémentaire en faveur de Skyshield. L’idée ? Étendre la couverture aérienne de l’OTAN à une large partie de l’Ukraine, au moins tout l’ouest, jusqu’à Kiev, et peut-être le long du Dniepr, et le sud. Ainsi, les projectiles menaçants pourraient être interceptés bien plus tôt.
Depuis quelques jours, vous avez peut-être eu la surprise de voir une pop-up s’afficher instantanément lors de votre connexion à Facebook ou Instagram. À la place du classique fil d’actualité, Meta vous demande désormais de trancher entre deux options pour continuer à utiliser ses services. Deux options s’offrent à vous : S’abonner pour utiliser Instagram ou Facebook sans publicité (à partir de 7,99 € / mois) ; Continuer gratuitement, mais en acceptant que vos données soient exploitées pour du ciblage publicitaire. Tant que vous ne faites pas de choix, l’accès à votre compte est bloqué. Aucune option pour « refuser » ou « ignorer » ce choix. Le message s’impose dès l’ouverture de l’application. Pour continuer, vous devez cliquer sur « Continuer » et confirmer votre préférence. Ce n’est pas la première fois que Meta joue la carte du choix binaire entre vie privée et gratuité. L’entreprise avait déjà initié cette stratégie d’abonnement payant en novembre 2023, provoquant une plainte de l’organisation autrichienne Noyb. Cette dernière dénonçait un contournement du RGPD : selon elle, demander de l’argent pour protéger sa vie privée revient à faire payer un droit fondamental garanti par la loi européenne. La Commission européenne a depuis tranché. Le 1er juillet 2024, elle a estimé que cette approche enfreint clairement le Digital Markets Act (DMA), qui impose aux grandes plateformes de respecter le libre choix des utilisateurs. Offrir uniquement l’option « payer ou consentir » ne permettrait pas, selon Bruxelles, d’exercer ce droit de manière équitable. Meta avait alors jusqu’à mars 2025 pour revoir sa formule, sans quoi l’entreprise risquait une amende pouvant atteindre 10 % de son chiffre d’affaires mondial. Mais bien que Meta revient à la charge sur le sujet, sachez que vous n’êtes pas totalement bloqué. En réalité, RGPD oblige, il est encore possible d’agir sur le traitement de vos données, et ce, même si vous ne payez pas pour utiliser Instagram ou Facebook. Voici la marche à suivre : Rendez-vous dans votre « Espaces comptes » : Sélectionnez ensuite « préférences publicitaires » ; Une fois dans la rubrique, sélectionnez « paramètres de publicités » et enfin « expérience publicitaire » ; Vous avez ensuite le choix entre deux options : « Publicités personnalisées » ou « Publicités moins personnalisées ». Choisissez cette deuxième option. Ce réglage ne supprime pas totalement le suivi publicitaire, d’où la mention « moins personnalisées ». Cet ajustement permet de tout de même de limiter l’exploitation de vos données (il y a d’ailleurs d’autres options sur lesquels vous pouvez agir depuis l’interface compte) et c’est mieux que rien si vous ne souhaitez pas souscrire à l’abonnement payant.
Une révolution pour le smartphone ? Dans quelques années, tout le monde pourrait passer aux « smartphones ultra-fins ». Une nouvelle catégorie de produits qui vise à amincir l’appareil le plus utilisé au monde, pour le rendre plus confortable. Les marques chinoises en proposent déjà, Apple devrait s’y mettre en septembre (iPhone 17 Air) et Samsung, avec son Galaxy S25 Edge, veut être le premier à rendre cette technologie abordable. Mais son nouveau téléphone a deux problèmes qui nuisent grandement à son intérêt : son prix et sa conception. Numerama a testé le Samsung Galaxy S25 Edge pendant deux semaines, voici notre avis ! Sommaire 00:00 - 2 semaines avec le Samsung Galaxy S25 Edge 00:52 - L'épaisseur du Samsung Galaxy S25 Edge 01:30 - Le Samsung Galaxy S25 Edge est trop cher 01:49 - Batterie et autonomie du Samsung Galaxy S25 Edge 02:51 - Samsung est allé trop vite avec le Galaxy S25 Edge 03:57 - L'ergonomie du Samsung Galaxy S25 Edge 05:26 - Mon avis sur le Samsung Galaxy S25 Edge 06:41 - Le futur des téléphones ultra fins L'article par ici ► https://numerama.com--- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numeramaTikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama