Description
Added on the 30/09/2019 17:18:22 - Copyright : BANG Showbiz
Oh, what a little skin can do.
Head-to-toe white might be a risky fashion move, but if you've got it, flaunt it! Celebrities are feeling daring as they work this season's color of choice in style.
As Portia de Rossi shows off her back in a sheer paneled dress at the Arrested Development season four premiere in Los Angeles, we look at all the other celebs who are bringing sexy back.
Organiser sa mort numérique devient essentiel : suppression de comptes, gestion des données sensibles, contrôle des photos, choix de ce qui survit après vous. Les plateformes conservent souvent vos données si rien n’est prévu. Intégrer ces décisions dans un testament limite les conflits, les accès non souhaités et l’usage post-mortem de vos informations. Entre effacement complet ou formes d’immortalité numérique rendues possibles par l’IA, votre héritage numérique dépend de ce que vous anticipez. Sommaire 00:00 Introduction 00:39 Mort... mais toujours vivant ! 01:31 Plus droit au RGPD 02:12 Organiser sa mort numérique 03:49 Le marché de la mort en ligne 05:35 Immortalité --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
Thunderbolts* vient de changer de nom, grâce à une campagne marketing plutôt ingénieuse de la part de Marvel. Il s’agit d’un immense spoiler, qui nous révèle enfin la signification du mystérieux astérisque du titre. Il était là pendant tout ce temps, discret, mais tout de même remarquable, invitant les fans à élaborer les théories les plus folles à son sujet : l’astérisque de Thunderbolts* vient enfin de prendre tout son sens. Moins d’une semaine après sa sortie au cinéma, aux États-Unis, le 2 mai 2025, le dernier film Marvel bénéficie ainsi d’une immense campagne marketing visant à changer son nom. Une décision liée à la dernière scène post-générique, qui sera capitale pour l’avenir du MCU. Explications. Pour promouvoir son nouveau long-métrage, Marvel n’a pas hésité à mettre les petits plats dans les grands. Après avoir fait durer le suspense pendant des mois, laissant entendre que l’astérisque du titre n’était pas anodin, Thunderbolts* a donc connu une légère cure de jouvence ces derniers jours. Les affiches ont alors été modifiées du jour au lendemain pour laisser apparaître un nouveau nom : New Avengers. Le casting s’est même réuni pour l’occasion, déchirant le titre original pour en révéler le nouveau, le 5 mai 2025. Sebastian Stan, qui incarne le Soldat de l’Hiver, a aussi pu faire des siennes, à un arrêt de bus. Les comptes officiels des Avengers ont, eux aussi, connu un léger changement, en arborant un petit devant leur nom, suggérant une notion de copyright. À l’heure actuelle, aucune campagne de ce genre n’est prévue en France et, a priori, cela n’affecte pas réellement le nom officiel de Thunderbolts*. Si le site américain Fandango, qui permet de réserver des billets de cinéma, propose désormais des tickets pour New Avengers, le film devrait tout de même conserver son appellation pour son exploitation au cinéma, puis en DVD et en streaming. L’idée est seulement d’ajouter une sorte de sous-titre à cette production Marvel. Un changement parfaitement contrôlé puisqu’il révèle en réalité le twist final du film. Cela est lié à l’une des deux scènes post-générique qui concluent le film, située plus d’un an plus tard, dans la célèbre tour des Avengers. Les Thunderbolts arborent de nouveaux costumes et sont désormais identifiés comme les Nouveaux Avengers. Une demande de la part de leur boss, Valentina Allegra de Fontaine, qui passe très mal auprès de l’équipe originale, et notamment auprès de Sam Wilson, aka l’ex-Faucon et le nouveau Captain America. Pour comprendre la bataille juridique qui les oppose, il faut se souvenir des évènements de Brave New World, dans lequel le président américain Thaddeus Ross demandait justement à Sam de reformer les Avengers. Autant dire que le nouveau Captain America n’a donc clairement pas envie qu’une nouvelle équipe vienne empiéter sur ses plates-bandes (d’où le nouveau devant le nom des Avengers, sur les réseaux sociaux). Face à ce conflit, Red Guardian propose une solution plutôt fun : changer leur nom pour « New Avengerz ». Quoi qu’il en soit, ce nouveau patronyme n’est évidemment pas inconnu au bataillon puisque l’équipe existe déjà dans les comics. Au fil du temps, la composition des New Avengers a évolué à de multiples reprises, recrutant d’abord Wolverine, Spider-Man, Luke Cage ou même Captain America, avant de compter d’autres recrues parmi ses rangs. En attendant de découvrir Avengers : Doomsday en 2026, Marvel fait ainsi patienter ses fans en leur présentant une équipe capable de prendre la relève d’Iron Man, Hulk ou encore Thor, si nécessaire. Cela signifie surtout que le prochain Avengers réunira l’équipe originale, les Thunderbolts* ainsi que les Quatre Fantastiques, dont le logo peut être aperçu à la fin de la scène post-générique. Pendant des mois avant la sortie du film, les fans de Marvel avaient plutôt parié sur une autre révélation : la transformation des Thunderbolts en Dark Avengers, une équipe de super-vilains également présente dans les comics, dans laquelle on retrouve The Sentry. Avec le marketing qui entoure les New Avengers, Marvel dément finalement ces théories, tout en reprenant entièrement le contrôle sur les spoilers. Quoi de mieux pour éviter la propagation d’un twist majeur sur les réseaux sociaux que de le révéler soi-même, au grand dam des fans ? Cette campagne plutôt osée permet ainsi de lier la trame narrative de Thunderbolts*, en suggérant que Valentina Allegra de Fontaine a eu gain de cause dans la bataille judiciaire qui l’opposait à Sam Wilson et qu’elle peut désormais afficher le nom de New Avengers, à un intérêt financier non négligeable pour Marvel. Tout cela donne évidemment envie à tout un nouveau public de venir découvrir le film en salles, pour comprendre pourquoi il a mystérieusement été doté d’un nouveau titre et dans quelle mesure les fameux Avengers sont impliqués, ou non, dans l’intrigue.
Cette étude vient ajouter une nouvelle pierre à l’idée que l’instinct de sauvetage, ou la volonté de sauver d’autres individus de la même espèce, est inné chez les mammifères. Les souris semblent en effet capables de déployer de « premiers soins » à une autre souris inconsciente. Sauver les siens n’est pas une attitude qui n’appartient qu’aux êtres humains, loin de là. Dans des travaux publiés le 21 février 2025, des scientifiques montrent comment les souris cherchent à réanimer d’autres souris inconscientes, en procurant ce qui s’apparente à des « premiers soins ». La vidéo prise par l’équipe de recherche, et publiée par le New Scientist, est fascinante. Mais qu’y observe-t-on vraiment ? « Elles commencent par renifler, puis par toiletter et enfin par une interaction physique très intensive », explique Li Zhang, principal auteur du papier de recherche. Cette interaction consiste à lécher les yeux, puis à ouvrir la bouche de l’autre souris et même à lui tirer la langue. Ce, afin de libérer le passage de l’air. Dans l’un des tests, les auteurs ont placé une balle en plastique — non létale — dans la bouche de la souris inconsciente. Résultat ? L’autre souris a retiré cette balle dans 80 % des cas ; et les chercheurs relèvent que, s’ils avaient laissé plus de temps aux souris, ce chiffre aurait pu augmenter. Les souris savaient également bien faire la distinction entre un pair inconscient et un pair simplement endormi ; en revanche, elles tentaient aussi le sauvetage sur des pairs décédés. L’ocytocine : un instinct « aidant » chez tous les vertébrés ? Cette observation étant accompagnée d’une étude neurobiologique du comportement de ces souris, les scientifiques ont pu déterminer que ces « premiers soins » sont reliés à deux régions du cerveau et à la libération d’une hormone spécifique, l’ocytocine. Celle-ci est naturellement présente chez les mammifères — et une grande part des vertébrés. Elle est parfois décrite comme l’« hormone de l’amour » ou « hormone de l’attachement », car elle joue un rôle clé dans les comportements sociaux de lien. De fait, les auteurs relèvent dans leurs conclusions que les réactions d’urgence visant à réanimer des pairs inconscients sont certainement « un comportement inné largement présent chez les animaux sociaux ». Ce comportement joue lui-même « probablement un rôle dans l’amélioration de la cohésion et de la survie du groupe ». Et en effet, cette attitude qui consiste à essayer de sauver un autre individu a été identifiée par exemple chez les éléphants, les chimpanzés, les dauphins.